Mélissa A. 01/01/2015

Comment j’ai appris à revivre après avoir été victime d’un viol

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Le jour où son amie lui a raconté son viol, tout a changé pour Mélissa. Après cinq ans de silence, elle a pu mettre des mots sur son histoire.

Suite à la lecture de ce texte, j’ai souhaité réagir. Récemment, une de mes amies a été victime de viol. Elle n’en a parlé qu’à moi, elle habite à l’autre bout du monde. Après une tentative de suicide, elle a été prise en charge par un hôpital en Australie, à côté de là où elle habite. Tous les jours, nous parlons par WhatsApp. Elle a besoin de soutien, que je lui rappelle chaque minute qui passe qu’elle n’est pas fautive, qu’elle n’est pas dégoûtante, qu’elle est courageuse, qu’elle ne doit pas détruire son corps, qu’elle est importante pour de nombreuses personnes, que personne ne va la juger, qu’elle a encore de belles choses à vivre et, surtout, qu’elle va réussir à survivre et à retrouver le sourire.

Pendant des semaines, elle a perdu la parole. Elle communiquait avec sa thérapeute sur du papier, et m’envoyait des SMS. Pendant des semaines, elle mangeait l’équivalent d’un fruit par jour, voire moins. Elle est restée sur un lit d’hôpital pendant des semaines, trop faible pour faire le moindre mouvement. Juste après le viol, elle s’est jetée à de nombreuses reprises dans les escaliers, pour être sûre de ne jamais tomber enceinte. Aujourd’hui encore, elle angoisse à l’idée d’être enceinte et elle sait que dans 9 mois, ce sera toujours le cas. Elle a peur de sortir, elle a peur que les gens la voient, elle a peur qu’ils comprennent, qu’ils lisent tout sur son visage et qu’ils la jugent.

Je lui ai tout raconté

J’aurais souhaité que cela n’arrive jamais. Mais aussi horrible que cela puisse être, elle m’a sauvé la vie. Quand elle m’a annoncé ce qui lui était arrivé, je n’ai pas hésité. Je lui ai raconté ce qu’il m’était arrivé, à moi, cinq ans auparavant. Cela semblait si normal, je voulais juste la sauver, je voulais lui montrer, que oui, on s’en sort. Cinq ans de silence. Je n’avais jamais rien dit à personne. Une fois à un ami, vaguement, il y a deux ans de cela, mais sa réaction m’avait également fait peur. J’avais préféré rester dans le silence. Alors, chaque minute que je passe à parler avec cette amie, je l’encourage à vivre, je lui montre que tout n’est pas perdu. On essaie de trouver ensemble des solutions. Quand elle me dit « Merci, tu m’as sauvée », je ressens en moi la sensation d’être sauvée également.

Les cinq ans de silence que j’ai subi ont provoqué de graves lésions mentales. Depuis un an, je suis suivie par un psychiatre. Je ne suis plus capable de penser correctement ou de réfléchir sans médicaments. Dormir ne se fait pas non plus sans. J’ai parfois des images de violence qui tournent en boucle dans ma tête sans que je puisse les contrôler, obligée de les subir. Je ne suis plus vraiment dans mon corps. Je ne suis plus vraiment dans ma vie, du moins, plus sans ces médicaments. Et je n’ai pas été capable de retrouver une relation normale avec qui que ce soit. Pourtant je me suis forcée, je n’ai pas voulu être de celles qui ont peur des hommes. Et aujourd’hui encore mes amis les plus proches sont des hommes. Mais avoir un rapport relève de l’inimaginable.

Bref, si toi qui me lis tu as été victime de telles horreurs, il faut parler. Aussi insurmontable que ça puisse paraitre il faut le faire. Parce qu’enfermée dans cette prison d’angoisse, on s’autodétruit.

Viol : des signes qui alertent

J’aimerais en profiter pour m’adresser aux proches des victimes. Avant toute chose, je tiens à préciser que la liste de conseils qui suit est non-exhaustive. Elle est uniquement tirée de mon expérience personnelle (en tant que victime et proche de victime). Je ne suis pas une professionnelle, et certaines choses seront plus ou moins importantes selon les gens. Il est très rare qu’une victime de viol parle directement après son agression, si c’est le cas, c’est votre chance : plus tôt elle est prise en charge, moins elle aura de séquelles sur le long-terme. Bien évidemment, une personne qui révèle son traumatisme des mois ou des années plus tard est également à prendre en charge. C’est l’occasion de lui offrir une nouvelle vie.

Différents signes peuvent vous alerter : refus de tout contact corporel (même pas une poignée de main), méfiance constante vis-à-vis des autres, agressivité systématique et disproportionnée, comportement dépressif mais également évitements sexuels et / ou relationnels, rejet de soi-même, conduites à risque (boulimie, anorexie, obésité, tentatives de suicide) ou refus des autorités masculines. Il peut également y avoir des refus de soins dentaires et / ou gynécologiques.

Des mots scandaleux pour une victime de viol

Voici d’abord quelques phrases qu’une victime de viol ne devrait pas avoir à entendre :

« C’est de ta faute, tu n’avais qu’à pas … »

« C’est fini, il serait peut-être temps que tu arrêtes de te plaindre et que tu tournes la page. »

« Il faut que tu oublies maintenant. »

« Tu mens, cela n’est jamais arrivé. »

« C’est pas si grave, ça arrive souvent. »

« Il serait peut-être temps que tu pardonnes. »

Mes conseils pour réagir

Ne jamais laisser la victime seule. Il ne faut non seulement pas l’abandonner dans sa douleur, mais il faut aussi être constamment présent pour elle, que ce soit physiquement ou virtuellement (le mieux reste la présence physique, mais souvent la victime refusera de voir qui que ce soit pendant un temps). Il faut toujours être disponible pour elle, si elle en a besoin.

Faire le lien avec la justice. Même si la victime décide de ne pas porter plainte, il faut insister sur l’illégalité de ce qu’elle a subi. Cela peut sembler logique, mais cela ne l’est pas pour elle. Elle a perdu le sens des réalités. Il faut bien lui faire comprendre qu’elle est victime et que les personnes qui lui ont infligé cela doivent être jugées, et qu’elle devrait porter plainte. C’est particulièrement important pour une personne victime d’agression commis par un membre de la famille ou un proche. La victime aura encore plus de difficultés à faire le lien.

Ne pas la forcer à parler, mais l’encourager à le faire. Si vous pensez qu’une amie a été victime de viol (ou d’une quelconque autre agression d’ailleurs), il faut lui laisser le temps d’en parler par elle-même en lui précisant bien sûr qu’elle peut vous faire confiance, que vous ne la jugerez pas.

Lui conseiller de voir une psy ou de s’adresser à tout autre professionnel. Là encore vous n’êtes pas professionnel et aussi importante que puisse être votre présence, celle d’un psychologue ou d’un psychiatre reste essentielle. À nouveau, vous ne pouvez la forcer, mais essayez d’être le plus persuasif possible. De préférence une femme, car le rapport à l’homme est souvent brisé. Il peut aussi être utile d’assister à des groupes de parole. Cela lui permettra de se rendre compte que oui, on s’en sort.

Faire attention à ses besoins primaires. Une victime de viol doit réapprendre à vivre et les choses habituelles de la vie peuvent devenir des épreuves quotidiennes. C’est pourquoi il faut l’assister constamment. Lui rappeler de manger, boire. De nombreuses autres habitudes peuvent ne plus être exécutées, comme aller aux toilettes, s’habiller, se coiffer, se laver, etc. Ne soyez pas étonné.

Faire attention à ce qu’elle ne se blesse pas. Le dégoût de soi est fréquent chez la personne victime de viol. Elle peut tenter de se faire du mal de n’importe quelle manière :  brûlures, coupures, grattements violents, arrachage de cheveux, acide… n’importe où, surtout au niveau des parties intimes. Elle peut également tenter de mettre fin à ses jours. Une victime de viol peut ne plus supporter de voir son corps et souvent, tentera de s’infliger une douleur physique forte dans l’espoir de supprimer la douleur psychologique qui la hante. Qu’importe la manière dont elle se fait du mal, si c’est le cas, le séjour à l’hôpital est obligatoire.

Regarder la réalité en face. Oui, elle a bien vécu cela. Non ce n’est pas inventé. Non, il ne faut pas qu’elle oublie même si c’est dur, même si cela la dégoûte et la terrifie. L’oubli va la consumer de l’intérieur, pouvant provoquer de nombreuses lésions. Il est important qu’elle nomme ce qu’elle a vécu ou ce qu’elle ressent, et essayer de l’aider à comprendre tout cela. Qu’elle fasse le lien entre l’abus et les symptômes. Il faut vraiment l’encourager à montrer ses émotions (pleurs, cris, etc.) afin qu’elle reprenne le contrôle de son corps qui lui a été arraché lors de l’agression.

Être compréhensif et attentif. De nombreux actes effectués par une victime peuvent paraitre bizarres ou illogiques pour les autres. Elle peut, par exemple, avouer ce qu’elle a vécu, puis quelques jours ou semaines plus tard annoncer qu’elle a menti. Elle peut également mentir sur de nombreuses autres choses : dire qu’elle est allée voir la police, qu’elle consulte une thérapeute, qu’elle n’est pas seule. Simplement pour qu’elle puisse restée seule, cachée, loin du reste du monde. Elle peut également se mettre en situation de danger (choix de conjoint violent par exemple) afin de vérifier qu’elle est désormais capable d’éviter l’agression.

Elle peut également devenir parano, avoir le sentiment que les gens à l’hôpital souhaitent l’empoisonner ou que les individus dans la rue la fixent avec un regard accusateur. Dans tous les cas, il ne faut jamais la traiter de menteuse, il faut rester compréhensif. Elle peut avouer ne pas avoir été victime uniquement par peur. Il faut donc lui manifester beaucoup de compréhension et ne pas l’accuser de mensonge. La confiance qu’elle vous accorde est quelque chose qui peut se perdre très rapidement.

L’encourager à revivre. Cela prend du temps, cela passe par l’encouragement à être vigilante mais refuser de se méfier de tout le monde, par la volonté de retrouver un intérêt pour la vie, à retrouver du plaisir et du désir et à aimer à nouveau. La vie est belle, pourquoi ne pas lui montrer comment l’aimer à nouveau ?

Encouragée par sa famille, Salomé a décidé de porter plainte contre son violeur. Mais cette expérience l’a traumatisée à nouveau.

Illustration du texte « Devant les flics, je ne me sentais pas prête à en parler. » Sur le dessin, une femme enfonce sa tête dans un oreiller.

Bien sûr, il est dur de réussir à bien agir sur tous les fronts et souvent, le manque d’avancées positives peut saper le moral. Il est important, pour la personne qui aide, de rester solide, autrement la victime pourrait montrer encore plus de réticences à se faire aider. Cela n’est pas facile, je le conçois, c’est pour cette raison qu’il est bien que vous parliez vous-même à une personne de confiance (en prenant soin d’être discret quant à l’identité de la victime) ou à un psychologue de ce qui se passe actuellement. Cela vous permettra de prendre du recul et de ne pas vous laisser consumer par la situation qui n’est aisée pour personne.

Courage, vous allez y arriver et son sourire sera le plus beau des remerciements.

Mélissa, 23 ans, étudiante, Montpellier

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164 réactions

  1. Bonjour,

    J’ai 35 ans, j’ai été violée en août 2023, au mariage d’une amie, par un de ses ami. J’avais bu, je suis montée m’allonger un peu, il m’a rejoint et violée pendant mon black-out. Mon seul souvenir, sa silhouette au dessus de moi… Je suis ensuite entrée en dissociation (soumission chimique écartée), pendant 6h…ma nuit est floue, hachée…il a quand même réussit à me tirer par le bras pour m’isoler dans une grange et il a recommencé.
    J’ai porté plainte quelques semaines plus tard.

  2. Je suis la maman d une victime de viol. L auteur n a pas été identifié pourtant ma fille pense qu il avait déjà fait ça. Ce fut un viol par menace et de toutes les manières possibles. Je suis à peu près sûre qu il a fait d autres victimes. Il était en Île de France nous ds le 92 ça c est passé. Il circulait en voiture bleu avec une grosse sono. Il est africain, ressemble au rappeur kaaris mais habillé de façon plutôt pauvre. Il a une cicatrice sur la joue . Il devrait avoir ds les 35 ans maintenant il ferai usage de canabis qu il disait acheter à issy les moulineaux. Si vous pensez voir de qui il s agit ou si cette personne vous dit quelque chose contacter la brigade des mineurs de Paris et dites leur que vous avez lu ce témoignage. Ensemble nous serons plus fortes. Je garde et vis dans l espoir de le retrouver.

  3. Je recherche une jeune maghrébine de 17ans a l époque année 80 par la elle a été prise ds un guet apens alors qu elle a perdu sa boucle d oreille un homme du voyage à appelé ses cousins pour la frapper et la violer je connais le coupable qui m à fait des attouchements détruite humiliée c est mon père adoptif je témoignerai avec elle c était ds les quartiers nord de Marseille

  4. Salut Audrey,

    Merci pour ton commentaire poignant. Tu traverses une période difficile, mais tu n’es pas seule, et c’est important de te tourner vers des personnes qui te croient, qui t’écoutent et qui t’aident. On te conseille, dans un premier temps, de te tourner vers un·e professionnel·le de santé qui pourra t’écouter : infirmier·e, psychologue… Des consultations gratuites ont lieu dans toute la France dans les Centre médico-psychologique (CMP). Tu pourras trouver le centre le plus près de chez toi sur internet.

    Tu peux aussi te rapprocher d’associations :

    – Le Collectif féministe contre le viol (CFCV) : numéro d’écoute et d’aide (0 800 05 95 95, gratuit, ouvert du lundi au vendredi de 10 h à 19h), organise des groupes de paroles pour les victimes de violences sexuelles.
    – Fil Santé Jeunes (si tu as -26 ans) : numéro d’écoute et d’aide tenu par des psychologues (0 800 23 52 36, gratuit, ouvert tous les jours de 9h à 23h) ou tchat sur le site : https://www.filsantejeunes.com/
    – Le planning familial : présent dans toute la France, permet de rencontrer un·e infirmier·e et organise des groupes de parole pour les victimes de violences sexuelles.
    – PARLER : une association présente dans les grandes villes qui organise des groupes de paroles entre victimes de violences sexuelles.
    – Viols Femmes Informations : numéro d’écoute et d’aide (0 800 05 95 95, gratuit, ouvert du lundi au vendredi de 10h à 19h).
    – Info Suicide : numéro d’écoute et d’aide (01 45 39 40 00, gratuit, 24h/24 tous les jours).
    – Si tu habites à la campagne ou dans une petite ville, on te conseille de consulter ce document qui répertorie toutes les associations locales : https://docs.google.com/document/d/1lAa25mqVYlPWnkOwb2xJUyrqT1VCwZdR9kV1FVVbkqE/edit

    On te souhaite beaucoup de courage.

    L’équipe de la ZEP

  5. J’ai été victime de viol le 9 juillet 2021.
    Un motard m’a fait croire que le pneu arrière droit de ma voiture était à plat. Il m’a dit de m’arrêter quelques mètres plus loin.
    J’ai été ligotée, droguée et violée.
    J’ai réussi à appeler les gendarmes. Ce sont eux qui m’ont détachés. Les pompiers sont arrivés en même temps. J’ai été transportée à l’iml pour prélèvement. Ils m’ont pris toutes mes affaires vestimentaires, m’ont coupé les ongles,prise de sang.
    Auditionnée par la gendarmerie dès le lendemain matin (même s’ils se sont déplacés à l’hôpital aussi pour les premiers indices), ça a été extrêmement compliqué.
    S’en sont suivies quatre autres auditions, plus compliquées les unes que les autres.
    Des éléments leur font penser que je ne suis pas là victime mais ”auteur” des faits, autrement dit,que j’aurais simulé ma propre agression.
    L’enquête est toujours en cours. Je passe de nouveau l’audition le 25 mai 2023. Je n’en peux plus. Je cherche la hauteur des ponts pour ne pas me rater. Une victime décédée est toujours crue…

  6. Bonsoir,j ai été victime d un viol en 2009 .c etait un soir de février il n etait pas tard je promener mon chien 19h30 environ et un type m a suivi il m a demandé un renseignement je n ai pas pu le lui donner .apres mon chien a été un peu plus loin il y avait un chantier avec des cabanons .en allant chercher mon chien l individu ce trouvai devant il a mis le crochet en fer c est abattu sur la porte mon chien a senti le danger venir et il c est enfui .et moi non ,il m a battu j ai essayé de m enfuir en petite culotte il m a rattrapé et traîne par les cheveux ….personnes n a pu m entendre il y avait un match de foot juste à côté. Je crier des que je pouvais et il est passé à l acte du viol il voulait me tuer je lui ai supplier de me laisser en vie!j ai porte plainte de suite il l on arrête il etait séropositif !j etais anéantie j ai du prendre le traitement du SIDA pendant 3 mois et attendre …..et non il ne m a pas contaminé du vih par contre maintenant je comprends pourquoi il m a laissé en vie .il a eu 12 ans de reclusion criminel et il était connu de toutes les villes de france pour des violences en tout genre .maintenant je survie. Merci

  7. Bonsoir,
    J’ai été violée à plusieurs reprises par la même personne lorsque j’avais 8 ans. Aujourd’hui j’en ai 40 ans. Pendant tout ce temps je n’ai rien dit à personne mais j’ai beaucoup souffert. Je ne rentrais que dans les relations toxiques que je savais qu’elles n’allaient pas aboutir. Je faisais payer à ces hommes mon mal être. J’avais essayé un accompagnement avec 2 psychologues sans succès.
    Mais l’année dernière j’ai connu le pardon et j’ai pardonné mon violeur.
    ça m’a permis de me libérer. La peur, l’agressivité, l’insommie… ont disparu de ma vie et je me sens beaucoup plus en paix.

    Je pense que nous devons d’abord pardonné notre violeur et après concentrons nous sur nous même pour sortir du traumatisme et les blessures que le viol causent dans la vie des victimes.
    Par contre, j’ai refusé de rester dans la victimisation. ça ne m’avait pas aidé.
    D’ailleurs je suis en train d’écrire mon livre sur le pardon.

    J’espère que vous allez expérimenter le vrai pardon et vous témoignerez de la paix retrouvée.
    Courage

  8. Bonjour,
    J ai 60 ans …j ai travaillé dans une boulangerie en 2015.
    Pour avoir mon contrat de travail qui tardait a être fait, j ai été victime d un viol par mon patron.
    J ai pas su me défendre par peur des représailles et de perdre mon travail.
    J ai voulue faire ma propre police et en parlé avec lui et comprendre ses gestes.
    Je suis retournée travailler tous les jours avec la boule au ventre en étant déjà informé par plusieurs personnes de porter plainte
    J ai craqué aux urgences de l hôpital qui m as consulté par des médecins et psychologue.
    Je savais que cela ne servirais a rien puisque je me suis lavé et retourner travailler.
    3 ans après avoir porté plainte ,j apprend que 2 vendeuses que je ne connais pas on porté plainte aussi en 2912 et 2914 pour viol et agressions sexuelles.
    Ce patron a le même mode opératoire sur ses victimes.
    Le chocolat sur le pantalon des vendeuses.
    Il m as demandé de monter à k étage et de m assoir sur un banc.
    Quand je le suis levé mon pantalon avait du chocolat.
    Tout vas très vite, la peur ,la panique, la culpabilité, et surtout peur de perdre son emploi.
    Je porte plainte et 3 ans après j apprends que les victimes on toutes eut un classement sans suite.
    J ai eut une expertise médicale
    J ai eut avec mon avocat la convocation avec la doyenne des juges..
    L enquête a été réouverte mais cela a pris beaucoup de temps et j attend depuis 2016 un procès ou j ai du pendant une année être suivie par des psy et des séances Emdr.
    J ai beaucoup de mal à retrouver une vie affective et professionnels.
    Cette tâche de chocolat je l ai hait pendant des années et pourtant c est elle qui m as sauvé car son mode opératoire est le même sur toutes les victimes
    C est très dur de faire confiance et de vivre en totale autonomie et de mettre des mots sur ce viol.
    Il faut creuser sa petite enfance et comprendre ses souffrances.
    J ai hâte de mettre une fin à cette histoire qui m as fait grandir et de ne plus jamais accepté la violence …merci de m avoir lue et courage aux femmes…

  9. Merci Mélissa pour ce témoignage. Mon fils a eu beaucoup des symptômes que tu décris. Cela m’aide à comprendre.

  10. Salut Lola,

    Tu traverses une période très difficile, mais tu n’es pas seule, et c’est important de te tourner vers des personnes qui t’écoutent et qui te croient. Parler de ces événements ou te rapprocher d’associations pourrait peut-être t’aider à te sentir mieux :

    – Le Collectif féministe contre le viol (CFCV) : numéro gratuit d’écoute/conseils gratuit (0 800 05 95 95).

    – Des groupes de paroles pour les femmes victimes de violences sexistes et sexuelles (tapes “groupe de paroles violences sexuelles” + le nom de ton département sur Google).

    – L’association Nous Toutes a créé un annuaire qui répertorie toutes les associations d’aide par départements : https://docs.google.com/document/d/1lAa25mqVYlPWnkOwb2xJUyrqT1VCwZdR9kV1FVVbkqE/edit

    Tu peux aussi prendre rendez-vous avec des professionnel·les de santé : médecin généraliste, psychologue (gratuits dans les Centre médicopsychologique) N’hésite pas à demander de l’aide extérieure, c’est normal d’en avoir besoin. On te souhaite beaucoup de courage.

    L’équipe de la ZEP

  11. C’est rare que je commente..j’ai été violée a 11 ans et a 12 ans ainsi qu’à 18 ans…. Je suis avec quelqu’un depuis 2 ans … Et depuis quelques mois ça m’arrive d’avoir des flashs ou quand on ce prends un peu la tête je devient violente jusqu’à le frappé violemment, mon compagnon essaie de me calmer en me maîtrisant..mais c’est comme si mon corps bougé tout seul et que mon Esprit etait enfermé….je m’en veux terriblement après ça .. mais a chaque fois des flashs ou événement de mes viols apparaissent dans ma tête et il est difficile de me calmer…

  12. Salut,

    Tu n’es pas seule, et c’est important de te tourner vers des personnes qui t’écoutent et qui te croient. Si tu ne trouves pas ces personnes dans ton entourage, tu peux prendre rendez-vous avec des professionnel·les de santé : médecin généraliste, psychologue (gratuits dans les Centre médicopsychologique)… ou te tourner vers des associations. Le Collectif féministe contre le viol (CFCV) dispose d’un numéro gratuit, le 0 800 05 95 95. Tu pourras parler à quelqu’un qui t’écoutera et te donnera des conseils.

    Dans certaines régions, il existe aussi des groupes de paroles pour les femmes victimes de violences sexistes et sexuelles. Tu trouveras toutes ces infos sur internet, ou par téléphone auprès du CFCV.

    N’hésite pas à demander de l’aide extérieure, c’est normal d’en avoir besoin. On te souhaite beaucoup de courage.

    L’équipe de la ZEP

  13. Jai une rage en moi qui me consumme j’ai peur de jamais men remettre. Je nai plus envie de rien, plus de sourire plus envie de me voir… Plus envie de parler… Plus rien en moi ne vis je suis morte de l’intérieur.

  14. Bonsoirs je ne commente pas souvent. Victime de violé par mon oncle a l’âge de 10 ans jusqu’à mes 15 ans ( aujourd’hui 31 ans) et je me sans toujours salle . Je suis un garçon et je me dégoûte!J’ai été “éduquée” sexuellement par lui et j’ai ressentit des choses avec lui . J’ai honte . Malgré que je suis en couple et père de 2 merveilleux enfants . Je me mets dans des situations délicates ( endroit fréquenter par des gays lieux de drague ) je veux comprendre pourquoi j’ai un blocage pourquoi chose pas dire NON , la peurt je suppose ? Cela me renvoie à ma jeunesse. Je suis heureux avec ma femme mes les situation que je me fait vivre me rend fou . Vous avez peut être compris que la ces pas terrible niveau mental la

  15. Salut Noura,

    Tu n’es pas seule, et c’est important de te tourner vers des personnes qui t’écoutent et qui te croient. Si tu ne trouves pas ces personnes dans ton entourage, tu peux prendre rendez-vous avec des professionnel·les de santé : médecin généraliste, psychologue (gratuits dans les Centre médicopsychologique)… ou te tourner vers des associations. Le Collectif féministe contre le viol (CFCV) dispose d’un numéro gratuit, le 0 800 05 95 95. Tu pourras parler à quelqu’un qui t’écoutera et te donnera des conseils. Dans certaines régions, il existe aussi des groupes de paroles pour les femmes victimes de violences sexistes et sexuelles. Tu trouveras toutes ces infos sur internet, ou par téléphone auprès du CFCV.

    Tu peux aussi, si tu le souhaites, aller à la gendarmerie ou au commissariat le plus proche pour porter plainte concernant le viol dont tu as été victime.

    Si tu subis des violences psychologiques et/ou physiques au sein de ton couple, tu peux contacter le 3919 ou aller sur la plateforme www.arretonslesviolences.gouv.fr/ 

    N’hésite pas à demander de l’aide extérieure, c’est normal d’en avoir besoin. On te souhaite beaucoup de courage.

    L’équipe de la ZEP

  16. Je vie dans une société difficile à c’en sortie après un viole.. après quatre années de dépression je suis accusé par tout le monde même mon mari me crois pas.. avant le viol j’ai était une femme forte bien vivante mais là je me reconnais plus angoissée peureuse faible. J’essaie d’oublier mais mon mari vient bourré et il m’agresse verbalement je veux oublié et vivre comme avant j’aime mon mari mais il me détruit chaque jour.. je n’arrive plus.. j’ai peur je pense à mourir

  17. Bonjour, j’ai 65 ans aujourd’hui, mais je voudrai vous dire que j’ai jamais pu me reconstruire après mes deux viols à l’âge de 15ans, j’ai eu une enfance chaotique et scolaire également manque de concentration je suis un enfant pas désiré je suis un enfant de la CAF. j’ai essayé d’avoir une vie social normal impossible car je fuis les gens j’ai toujours eu des petits boulots car j’ai jamais pu d’accroché un diplôme. j’ai réussis à me marier et avoir 2 enfants j’ai divorcé 10 après mes enfants mon renier également, j’ai eu d’autres compagnes par la suite mais s’est des échecs sur échec. A 65 ans j’arrive bientôt au bout de ma route avec beaucoup de soulagement de partir .
    Ne faite pas les même erreurs que moi , ils faut parlé de vos traumatismes et vos mal être à des gens de confiance sinon votre vie est détruite et vous souffrirez toute votre vie.
    Patrick

  18. Bonsoir Inconnue,

    On donne souvent des contacts et conseils dans ces commentaires pour les personnes dans ta situation.
    Aucune culpabilité à avoir de ton côté. Rien n’est ta faute et si tu le penses, ça pourrait être bien de consulter un professionnel de santé pour dénouer tout cela oui.
    Pour ce qui est de la plainte, il n’est jamais trop tard, rien n’excuse de tels comportements, ni l’amour ni les excuses. Tu ne dois rien à personne mais rien ne t’oblige à porter plainte. Ce qu’il faudra pour aller mieux…
    A 19 ans, tu peux encore appeler Allo Ecoute Ado, 06.12.20.34.71, ils sont vraiment très bien, je te promets.
    Courage,
    Eliot et toute l’équipe de la ZEP

  19. Je ne sais même pas par où commencer actuellement je suis dépressive aujourd’hui je me sens mieux je crois car j’ai craché le morceau concernant les attouchements subis , le viol récent.
    Je me sens énormément coupable vis a vis de ma tutrice actuelle car je suis sous sa responsabilité et elle m’avait fait confiance pour mes sorties mais malheureusement j’ai dépassé les limites, limite je regrette d’avoir parlé… certes je me sens légère mais la culpabilité et la haine envers moi même m’envahît.
    Je compte voir une psychologue un de ces jours car je n’ai que 19 ans …
    Je n’ai pas forcément la force ni l’envie de porter plainte par rapport a mon viol car il s’est excusé juste après et aussi car cette personne je l’ai aimé…
    Je ne veux pas que ça aille trop loin je sais qu’à ce jour le regard envers moi va changer.
    Mes parents ne sont au courant de rien.

  20. Salut ton message m’a vraiment touché !
    Je dois faire un discours sur le viol au lycée et je vais beaucoup m’inspirer de ton article
    Le seul “défaut” que je trouve est que tu emplois le pronom “elle” mais il ne faut pas oublier que même si c’est “seulement” 5% des hommes qui se font agresser sexuellement il ne faut pas les oublier 🙂

  21. Bonjour tout le monde,
    A l’age de dix ans j’ai étais victime de multiples attouchements,fellation, masturbations et il c’est frotter derriere moi quand j’ai récupérer un outil a quatre patte.
    il l’a également fait a un autre jeune garçon qui a immédiatement déposé plainte, j’ai était auditionné a l’époque , j’ai nier devant le gendarme car j’avais le sentiment que c’est moi qui avait fait une bêtises. J’en voulais a la terre entière , je détestais les force de l’ordre en les qualifiant d’incompétent.
    25 ans plus tard j’ai pris mon courage a deux mains et je suis parti déposé plainte, on a reçu ma plainte avec beaucoup d’empathie et de respect, puis il s’en es suivi d’une confrontation avec l’auteur présumé , le lendemain de notre confrontation il es rentré en détention provisoire, la procédure est toujours en cours.
    Tout sa pour vous dire il n’est jamais trop tard.
    Affronter vos peur le mal c’est pas vous qui l’avais fait.
    Faites confiance en la justice du moins dénoncé vos actes subis sans sa vous vous morfondrez a tout jamais.

  22. Ma cousine ( 14 ans Camille) dont je suis très proche ma fais découvrir une fille 11 ans ( je suis un garçon( Alban ) 11 ans ) et cette fameuse fille que je vais nommer Lola a vécu 2 Viol horrible commis par un inconnu et son frère Lola n’a jamais ose me parler de sa première tragédies mais elle m’a raconter sa deuxième tragédies
    Je prend la personne comme si j’étais Lola :
    ” Un soir mon frère rentrer de soirée il était alcoolisées et saliver tout le temps sur son corps ce soir il décida de venir dans son lit et je commença à sentir l’odeur de l’alcool s’emané de sa bouche et se dit qu’il se passe un truc louche elle coura alors vers sa porte et essayais de l’ouvrir mais elle était fermée et il se passa le drame ” quand cela lui est arrivé elle avais 8 ans et a dénoncé son frère grâce à moi et cette article il y a 2 mois et elle as encore beaucoup de sécaile mais ose m’en parler elle c’est réfugiés chez les fille et est devenu LGBTQ ( comme moi fière d’être ️‍️‍ ) mais ma cousine ( avec qui sortait Lola après son Viol ) a réussi à lui faire faire le pas vers les garçons et maintenant je l’aime aussi mais je m’en fiche car je vois qu’elle est bien avec ma cousine et moi ça me fais du bien de la voir aimer
    Et tous se qu’on veux savoir a la fin c’est que son frère est condamnée à 1 ans de prison
    Et je vous soutiens les filles et n’oubliez pas
    CE N’EST PAS LA BEAUTÉ EXTÉRIEUR QUI COMPTE MAIS LA BEAUTÉ INTÉRIEURE

    Et que si tu réussi à te sortir de la merde c’est que ta jamais cessé dis croire

  23. Bonjour, moi je me suis faite violer à l’âge de 13ans Dans un foyer. J’étais placé parce que mon père était gravement malade et nous avions pas de domicile fixe. J’étais dans ma chambre au foyer je dormer puis là . Sammy puis Thierry on jurgie dans ma chambre et mon violer. Cela a duré 2 ans .j’ai même était hospitalise car je me fersais vormi puis je pleure tout les soirPersonne ne ce soucier de quelques que chose .Maintenant je suis chez moi j’ai 27ans .je n’ai pas possè pliente car je n’ai pas le courage de les affronter face à face. Puis de reparler de ce qu’il mon fait. J’ai toujours gardé le silence je n’en n’ai pas parlé à mes parents puis à mes sœurs et mon frère. Car être placé nous à marqué. J’ai réussi à on parler à une amie mes je pense qu’elle m’a pas cru. Je ne arrivé plus affaire semblant de sourire alors que j’ai peur quand à mec s’approche de moi, plus confiance on moi. Cauchemar a répétition.

  24. bonjour moi je me suis fait violer a 18 ans dans une famille on ne pourrez rien dire j ai 70 ans cella a pertuber toute ma vie j ai eu la chance d avoir deux enfants mais ma vie a toujours ete un conflit dans mes mariages est j en souffre encore………….

  25. bonjour je suis Mireille , je vous avais écris au dessus j arrive pas remonte de mes agression et de mes viole que j ai subi je suis suivie part une infermière psy il veule que je vais en clinique pour remonte sa je voudrai savoir si c est la bonne solution

  26. Bonjour,
    J’ai 45 ans, et subi des violences sexuelles lorsque j’avais 8 ans (incapable à ce jour combien de temps cela a duré et combien de fois, juste la 1ere fois et la dernière, je sais qu’il y a eu plusieurs fois)…
    Ces agressions ont eu lieu début des années 80.
    Je n’en avais jamais parlé, car je me sentais fautive (certainement parce qu’à chaque fois que je voyais ce voisin, je savais ce qu’il allait me faire faire, et au lieu de fuir, je le suivais. Il devait avoir une 15aine d’annees).
    Bref, en 2003, j’ai vécu une séparation douloureuse, et par la même occasion un déclic. J’ai dit à mes parents ce que j’avais subi 20 ans plus tôt et donné l’identité.
    Et j’en suis restée là.
    En 2013, j’ai fait un burn-out… 1mois et demi, en maison de repos avec suivi psychiatrique toutes les semaines. Je lui ai dit ce que j’avais vecu 30 ans plus tôt, mais sans jamais pouvoir raconter ces violences.
    J’ai rencontré quelqu’un en 2014. Une personne formidable. Et alors que lui me racontait un moment de sa vie, j’ai décidé de lui dévoiler mon drame.
    Quelques années après, il a essayé de me libérer en me faisant parler (je ne me suis jamais autant dévoilée, même le psychiatre n’avait pas réussit !!!).
    La seule chose que mon psychiatre à réussi à me faire faire, c’est une auto-analyse : tous les 10 ans, c’est très compliqué.
    1993, j’ai eu une période auto-destructive. Je buvais, je sortais tous les week-end, je fumais des joints… mais j’ai toujours respecté mon corps (hors de questions, que j’aille avec des hommes pour un soir)…
    2003, dépression, avec rupture douloureuse.
    2013, mon burn-out…
    J’ai horreur du regard des hommes inconnus (mais j’ai réussi à créer une bulle -> mon compagnon avec qui je suis très épanoui sexuellement et l’agression n’a pas sa place dans ma vie… même si je vis avec quasi-quotidiennement !!!)
    Lorsque je croise un homme (dans la réalité ou à la télé) qui a des ressemblances avec mon agresseur, je ressents de la haine, du dégoût et je peux être tres agressive avec ce genre d’homme.
    Parfois, je me demande si je ne devrais pas faire de l’hypnose pour faire remonter à la surface ce que mon subconscient a enfui au plus profond en me disant que cela m’aidera à l’accepter pleinement ou je dois laisser ce passé dans l’oubli, en ne gardant que ce qu’il a voulu faire remonter à la surface.
    Ma vie n’est pas rose… j’ai eu 3 grands amours dans ma vie, mais chaque fois assez compliqué :
    – le 1er ne savait pas ce qu’il voulait
    – le 2eme était un pervers narcissique et m’a détruit (une des conséquences de mon burn-out)
    Et le dernier, un melange des 2 (fait un pas en avant, recule de 2 pas… sous prétexte qu’il a lui-même vécu avec une perverse-narcissique me blesse comme s’il cherchait à se venger de son ex).
    Enfin, aujourd’hui, c’est un coup de massue : avec nos hauts et nos bas, je suis parties 5 mois. Je suis revenue au mois de septembre car, je sais les raisons pour lesquelles il a peur. Nous avons tous un traumatisme et il faut être solidaire pour pouvoir les surmonter).
    Donc aujourd’hui, coup de massue car ce week-end encore une engueulade (j’ai des soucis de santé et en recherches donc moral très bas depuis plusieurs mois…), il est en déplacement depuis hier, et j’apprends que monsieur n’est plus amoureux de moi, par contre ça ne l’empêchait pas de profiter que moi, je le sois encore.
    Donc, aujourd’hui, j’ai juste l’impression qu’alors qu’il connaissait mon traumatisme (et il savait qu’il était le seul à connaître une grosse partie de cette “histoire”), il ne m’a pas du tout respecté. J’aurai préféré qu’il me dise bien avant “je ne suis plus amoureux de toi, mais on peut cohabiter comme des amis”. J’ai juste l’impression d’être encore une fois salie…
    Je le lui ai dit (à demi mot… il fait celui qui ne comprend rien. Pour moi, je suis juste trahi, comme personne ne l’avait fait avant lui !!!)

  27. Vous êtes vraiment très fort pour en parler et merci beaucoup grâce à vous je vais pouvoir édée une amie

  28. Bonjour,

    Merci pour ce bout de récit et ces explications. C’est important d’en parler.
    On espère que tu en parles avec des gens qui t’accompagnent dans cette épreuve qui dure longtemps.
    N’hésites pas à regarder les commentaires précédents, on donne aussi des pistes.
    Courage à toi en tout cas,

    L’équipe de la ZEP

  29. Bonjour ,

    Merci pour ce texte , je l’ai trouvé hyper bien mais il y a une choses que j’aimerai rajouter.
    Je me suis faites violer lors de ma première fois et après ça j’étais dans le déni total quand je me suis rendue compte de ce qui m’était arriver j’ai commencer à faire n’importe quoi et à chaque fois que un mec voulait faire quelque chose avec moi je me disais que dire non était simplement une perte de temps , je me sentais sale je me disais 1 mecs en plus ou mecs en moins ça change rien.
    Après ça j’ai commencer à sortir tout le temps tout l’été je ne supportais plus le fait d’être enfermer , je me suis mise à fumer la cigarette et maintenant je fume des joints tout les soirs car je ne peux pas m’endormir sans rien je me rattache très vite a certaine choses et ça devient nocif pour moi . Donc le dégoût de soi même ça c’est sur que je suis d’accord mais moi pour le reste ça à été le contraire ( je sortais h 24 , j’avais une vie sexuel beaucoup trop active…)
    Merci d’avoir fait ce texte car ça m’a permis de me livrer et ça fait du bien

  30. Bonjour Loriane,

    Evidemment qu’on ne te juge pas. On n’a aucune raison ! C’es très courageux de ta part d’avoir porté plainte. Et même si psychologiquement ça doit être très difficile, paradoxal, perturbant, je suis sûr que c’est un grand pas en avant.
    Tu es bien entourée et c’est le plus important, je suis sûr que tu vas aller mieux et qu’on te rendra justice.
    Merci de ta confiance et de ton partage,

    L’équipe de la ZEP

  31. Bonsoir,
    J’ai 15 ans et ça fait 4 ans que je me suis fait violée, je vis avec tout les jours mais j’ai mal et j’ai peur de revoir cet homme un jour c t’a il habite proche de chez moi (même rue), j’ai attendu 2 ans avant de le dire et la première personne qui l’a su c’est ma cousine, cette fille c’est toute ma vie je peut lui confier ma vie sans jamais avoir peur, sauf que depuis que j’ai été porter plainte je me sens sale, honteuse, moche, détruite ainsi qu’anéantie. J’ai besoin de me confier et je sais qu’ici vous me jugerais pas (du moins je l’espère)… Merci de m’avoir écouter et bon courage à toute les femmes violée. Et sachet que d’en parler c’est extrêmement important mais c’est aussi compliqué de se confier même à des gens qu’on connaît pas

  32. Bonjour
    j’ai moi même été victime d’inceste et aujourd’hui je me retrouve a accompagner une collegue violée il y a qq mois .
    c’est dur tout ça, mais c’est possible de dépasser et de vivre, de connaitre le bonheur.
    c’est une renaissance.

  33. Bonjour a tous,
    J’ai ete victime de maltraitance grave avec viol et viol en reunion et tentative d’assassinat. J’ai 39 ans et je suis rongee par une terreur handicapante.Grace a vos temoignages ,je me sens mieux.

  34. bonsoir comment on peu faire pour parle de cette tragédies sa me paralyse j arrive pas parle j ai si mal je tremble et je perdre connaissance les images arrête pas de passe dans ma tête peur de marche dans la rue peur de tout c est horrible comment on peu avoir la force je les plus

  35. Bonjour Mireille,

    C’est terrible ce qui vous est arrivé mais aucunement de votre faute. Je pense que vous devriez en parler de vive voix à cette infirmière. Ou à un.e psychologue qui saura vous accompagner pour vous relever de cette agression.
    Courage à vous et tenez le coup, on peut s’en relever comme le montre ce témoignage mais aussi toutes celles et ceux qui le commentent depuis plusieurs années.
    On est avec vous,

    L’équipe de la ZEP

  36. bonjour j’ai 43 ans j’ai été agresser et violé a trois repris le 5 janvier 2020 je connais pas mon agresseur mes lui savais tout de moi .
    je n’arrive pas comprendre; ma douleur est très présente et je ne dort plus les nuit un bruit me fait peur . je fait beaucoup de crise angoisse, je pleure beaucoup je vient de rencontrer une infermière CMP mon deuxième rendez et jeudi je sais pas comment parle de c est drame sa me paralyse de en parle j ai tellement honte de pas avoir réussi me défendre je souffre beaucoup trop je suis entraine de perdre pied je sais pas comment me relevé de tout ça. j’ai vraiment peur de en finir

  37. Courage Kenza !
    J’espère que tu as des gens autour de toi pour te soutenir et que tu as pu consulter quelqu’un pour guérir de ces terribles blessures.

  38. Bonjour. J’ai 41 ans. J’ai été violé par plusieurs membres de ma famille. Un oncle vers 4 ans. Un autre oncle deux fois a 9ans. Et fréres…, par moment j’ai l impression d’être une gamine….. c’est inexplicable….. l impression de revivre ces moments alors je me ressens gamine…., et depuis l’affaire duhamel…. je revis ces viols qui étaient au plus profond de moi cacher. Je me sens de plus en plus mal….., ça me gache la vie…………

  39. Personnellement j’ai 55 ans, j’ai à l’age de 12 ans était vitime d’agression sexuelle de la part de mon frère ainé. J’ai mis 23 ans avant de pouvoir en parler. Je suis passée à vitesse grand V par tout un tas de stades décris dans cet article dont la dépression. Je me suis faite aidée pendant deux ans par un psychiatre j’avais 35 ans. Aujourd’hui je vais mieux, mais pas bien, 43 ans que les faits ont eu lieu et je me dégoûte toujours, je rejette toujours mon corps, et refuse d’être touchée. Les médecins que je vois ne peuvent être que des femmes, sinon j’ai un rejet. Dans mon cas il n’y a pas que l’agression physique mais il y a aussi la trahison mentale d’un “frère” qui devait être fraternel, protecteur de sa petite soeur et non agresseur. Aujourd’hui mes cinq frères et soeurs m’ont tournés le dos, je n’ai plus de famille, sans doute ainsi me culpalisent-ils. Tout cela pour dire que je ne m’en sors toujours pas, même si j’ai construit ma propre famille. A jamais mon corps poretra cette douloureuse cicatrice, en fait mon corps n’est plus à moi depuis mon age de 12 ans. Je vis dedans, mais il n’est plus à moi. J’adore tout ce qui intellectuel, travailler, raisonner, débattre, réfléchir, créer….Mais mon corps est mort.

  40. Bonjour, j’ai aujourd’hui 23 ans.
    Ma vie est un véritable bordel; rage, colère, tristesse, dégoût, déception, incompréhension.
    À l’âge de 13 ans, j’ai subie des comportements destructeurs de la part de mon premier «amour». Il était tellement insistant. Il m’a pénétré à plusieurs reprises malgré que le fait que je dise non.
    Heureusement la relation s’est terminé rapidement.. Mais après j’ai commencé à être très perturbée; consommation de drogues et d’alcool, conduites sexuelles weird. Bref, je crois que je n’étais pas tellement bien à ce moment-là, mais je ne réalisais pas l’impact de ce que j’avais vécue. En fait, c’est un de mes amis de l’époque qui m’a fait réalisé que mon chum m’avait violé à ce moment-là….

    À mes 14 à 17 ans, j’ai sortie avec un autre gars et malheureusement il n’était pas du tout respectueux. Il me rabaissait constamment, Me traitait de fille facile et de toxicomane qui arriverait a rien dans la vie. Beaucoup de violence psychologie et même physique. Il était possessif et très contrôlant. J’étais une pièce de viande pour lui. Sa été dure de le quitter, car j’avais probablement déjà une faible d’estime de moi et je croyais que je ne méritais pas mieux. Heureusement, j’ai finis par m’en sortir de cette relation malsaine et toxique…

    Malheureusement ce n’est pas la fin. Je viens tout juste de sortir d’une relation de 6 ans. Fait 1 mois que j’ai pris mon courage à 2 mains pour laissé mon conjoint. Je croyais que nous avions une belle relation basée sur de belles valeurs; respect, confiance et communication. Évidemment, notre relation présentait plusieurs lacunes ( plus que je le pensais à l’époque..). En Mai 2019, c’était une soirée qui me parraissaît banale, sans particularité. Le soir, je me suis couchée et je ne voulais pas faire l’amour, mais lui en a décider autrement. Il m’a tapponé et il a été super insistant et il m’a placé sur le ventre et fait ce qu’il avait a faire…

    Pendant plus d’un an, j’ai ruminée cette histoire et je suis restée avec lui, car je trouvais «donben» que c’était un gars si gentil. Ne ferait pas mal a une mouche. Et bien c’est faux. Il m’a détruit cette soirée-là. Mais j’avais tellement d’autres responsabilités à gérer que je n’avais pas la force d’affronter mon viol. Mes mécanismes de défenses m’ont prôtégés ( mon corps connaissait ses émotions malheureusement. J’ai commencé à vivre avec lui et tout s’est dégradé. Plusieurs éléments sont venus s’ajoutés. Je ne me sentais pas bien, je faisais des crises de paniques. J’étais super dépressive, j’étais sur le pilote automatique. J’avais envie de me gratter les bras et frapper partout pour me faire du mal. Je n’en pouvais plus. Heureusement que j’ai des bons amis.

    J’ai réussis à m’ouvrir à plusieurs personnes exceptionnelles, heureusement qu’elles sont là. Cela fait 1 mois que je consulte aussi, j’ai vu un sexologue et là je commence une psychothérapie. Je crois que je suis prête à me livrer à se combat contre tous ses choses horribles qui me sont arrivés. Laissez-vous pas manipuler par ce genre de pervers narcissique, qui vous promet la lune et qui paraît si gentil et inoffensif. Des grands manipulateurs.

    Battez-vous et laissez pas faire ses horribles personnes qui ont utilisés leurs pénis comme arme. Ils ne sont pas assez intelligent pour vous affrontez autrement.

    Croyez-en vous.

  41. Bonjour,

    J ai 37 ans et j ai été victime de viol entre 4 et environs 10 ans , par un cousin qui avait 10 ans de plus que moi. J ai toujours vécu un mal être profond je ne l aimais pas et ne savait pas pourquoi ( j ai fais une amnésie ). J ai donc vécu une vie plus que merdique , violée et violenté par tout le monde. Tentative de suicide, boulimie, anorexie, je me faisais du mal , voulais que mes douleurs psychiques s arrêtent . Scolarité raté…
    Il est resté dans mon entourage jusqu’à mes 25ans et donc dans notre famille….
    J ai rencontré un homme formidable.
    Suite à mes grossesse j ai eu des images précises de ce qu on m avait fait.
    C est pire encore car je réalise la gravité, l âge que j avais, le vécu…
    Je suis tombé dans une dépression morbide.
    Étant bien entouré j ai commencé à en parler, je voulais comprendre.
    J ai porté plainte en 2012. C était très dur. Je comprends les personnes qui ne passent pas le cap car décrire encore et encore des scènes de douleurs….. je me sentais pas comprise et c est très long nous sommes en octobre 2020 , en ne lâchant rien mon agresseur est mis en examen mais libre. Une commission rogatoire est en cours. J ai du le confronté il y a environ 2 semaines et il est dans la dénégation depuis le début….
    Je veux aller jusqu’au bout et je dois mais a certains moments je suis lessivés psychologiquement, heureusement que je suis soutenue et suivi….
    Je veux dire a tout le monde que c est dur mais que ça fait du bien !
    Demandez justice et fermez cette porte pour en ouvrir une nouvelle….
    Je vous dis ça mais je ne sais pas encore ou je vais. J espère les assises!!!
    Courage a tous le monde.

  42. Bonjour AnonymeSVP,

    ça doit être difficile de gérer ça toute seule, tu peux regarder dans mes précédents commentaires, j’ai déjà donné des numéros de gens qui seront à ton écoute et pourront t’accompagner ou t’orienter vers d’autres gens.
    Courage à toi,

    L’équipe de la ZEP

  43. Bonjour en faite une personne à essayer de me violer et depuis j’ai peur d’être seul ou même quand je ne suis pas seule.
    Vous dites qu’il faut en parler mais c’est très dur pour moi, je n’y arrive pas.
    Depuis hier je n’arriva pas a aller en cours ou même chez moi.
    Je rentre dèsfois avec des amis mais je ne me sens pas en sécurité surtout que j’ai entendu que beaucoup d’adolescents disparaissent etc.
    Svp avez vous des conseilles merci car j’en ai marre de faire semblant comme si rien ne s’est passé.
    Mais il y a des moments j’ai tellement du mal à retenir mes larmes.
    Je n’arête pas de penser à cela, j’ai des amis virtuelles qui ont vécu cela etc…
    Je les ai aider dans ces moments difficiles.
    Mais je n’y arrive pas en parler, ni penser à autre chose ou ni arêter de pleurer 24h à cause de cela…

  44. Courage Manuella, j’ai déjà donné plusieurs numéros ou sites à regarder dans mes précédents commentaires.
    J’espère que tu sauras y trouver un peu d’aide.
    Tu vas y arriver !

  45. Mercredi dernier ont a essayé de me violé le problème ses que je n’est plus de souvenir pour le moment depuis cette nuit là je suis pas bien j’arrive pas a avoir goût à la vie pourtant je suis mariée et j’ai 6 enfants avant hier ses a dire samedi j’ai voulu mettre fin a ma vie car je n’y arrive pas pour le moment ses mon époux qui ma sauvé a temps le pire ses que le coupable est un membre de ma famille je me sens coupable et j’ai l’impression d’être tout le temps sale je pleure et j’arrive pas a contenir mes larmes devant mes enfants et mon mari je sais pas quoi faire.

  46. Bonjour,
    Je comprends tellement ce que tu vis. Mes émotions ressemblent à des montagnes russes. Hier, j’étais désespérée, je voulais mourir et me sentait seule au monde, pensant que personne ne voulait s’embarrasser de moi et aujourd’hui, je veux me battre (après avoir vu une psychologue et passé la soirée avec une amie). Il paraît que c’est un passage obligé de passer de l’état d’espoir à celui du désespoir. Si tu es là et écris sur ce blog, c’est que tu as une force énorme en toi. Je pense que ces moments de désespoir sont des tempêtes que nous devons traverser, jusqu’à ce qu’il n’y en ai plus. Pour ma part, la psychologue a trouvé une image que je trouve géniale pour décrire les victimes de viol, c’est le PHOENIX, qui renaît de ses cendres. Je m’accroche à cette image, en me disant que ces événements traumatiques font peut-être mourir une part de nous, mais que nous renaîtrons, en partie différentes, avec la capacité d’être simplement heureuse. Et puis, ce que j’ai compris avec la psychologue hier, c’est que cette renaissance prend du temps, beaucoup de temps. Je suis sûre que tu as toute cette force en toi. Et je pense aujourd’hui que nous sommes bien plus fortes que nos agresseurs.
    Prends soin de toi

  47. Bonjour à toutes et à tous,
    J’ai 38 ans et cela fait 4 ans que j’ai mis les mots “viol” et “agression sexuelle” sur les souvenirs que j’ai toujours eus depuis mes 9 ans. J’avais gardé ces images en étant consciente que quelque chose clochait mais je pensais que c’était MOI la fautive. En 2017 j”ai commencé une thérapie à l’Institut de Victimologie, un centre spécialisé dans le traitement des traumatismes; si vous vivez en région parisienne, je vous le recommande car les séances sont remboursées par la Sécu.
    J’écris aujourd’hui parce que je suis complètement perdue, je pensais être sur la bonne voie avec le travail thérapeutique, les groupes de parole, la plainte déposée etc mais ce n’est pas le cas: je navigue entre moments de répits et moments dans le gouffre, je n’en peux plus de ces allers-retours. J’ai l’impression d’être folle ou de le devenir! Je n’arrive pas à communiquer avec ma mère qui souhaite m’aider, je sais que je lui fais de la peine en allant mal mais je n’arrive pas à aller mieux et ça me met en colère contre moi-même alors que je sais que je ne dois pas être méchante avec moi-même, c’est un cercle vicieux, je tourne encore et encore et je ne trouve pas de sortie. Je pense à mourir pour que toute cette souffrance cesse mais je sais que ce n’est pas la solution et pourtant je n’ai plus d’idées pour avoir moins mal. Je me sens inapte à la vie, j’existe mais je ne vis pas et j’ai peur qu’un jour je ne sois plus capable de résister. Je me sens tellement seule malgré les personnes autour de moi, une solitude écrasante.
    Prenez soin de vous

  48. j’ai été violée en état de soumission chimique il y a un peu plus d’un mois. C’est la seconde fois que je suis agressée sexuellement, alors imaginez ma culpabilité ! J’ai déposé plainte, contrairement à la première fois, grâce au soutien sans faille de mon compagnon. Je peux vous dire que ce n’est pas une partie de plaisir, d’autant que l’on vous annonce que si votre violeur est poursuivi et que l’affaire va aux assises, vous allez en baver ; on va tenter de vous démolir, alors il faut déjà s’y préparer (notamment lors d’une confrontation que l’on vous conseille fortement d’accepter …) ; bien sûr, ce tableau noir que je dépeins n’est pas du fait de l’OPJ qui s’occupe de vous, mais du système, et j’imagine que ça ne va pas s’arranger … question prise en charge des victimes d’agression sexuelle). Aujourd’hui, je me bats juste pour accepter de rester en vie. Voilà ce que mon bourreau m’a inspiré :
    LA PORTE DE L’ENFER
    Je l’ai passée sans le savoir
    Comment ai-je pu ne pas la voir ?
    J’y ai été séquestrée
    Je ne pouvais plus la passer
    Ils étaient juste de l’autre côté
    Mail il me cachait tel un objet volé
    Ils ne pouvaient pas m’apercevoir
    Je ne pouvais plus les entrevoir
    Alors que certains savaient
    Et le cautionnaient
    Ils ne leur ont rien dit
    Sinon, ils m’en auraient sortie
    Maintenant les langues se délient
    Jusque-là c’était des non-dits
    Certains disent que c’est de notre faute
    Ceux-là savent-ils ce qu’est un crime ?
    Que savent-ils du désir ?

    J’espère ne pas avoir été trop longue et je vous remercie de votre lecture, un peu d’attention si importante pour moi.

  49. Bonjour,

    Il faudrait que tu en parles à un professionnel pour essayer de te reconstruire, on donne plusieurs pistes dans les messages précédents !
    Courage en tout cas, ça va s’arranger si tu es bien entourée.

  50. Bonjour,
    J’ai l’impression que c’est insurmontable continuer à vivre à être au contact des autres sont des choses que je m’efforce a faire pour paraître “normal” je me suis faites violé de mes 9 ans à mes 12 ans. Puis quand j’ai eu 17 ans mon demi-frère m’a violé.
    Aujourd’hui j’ai 20 ans j’en souffre je n’y arrive pas … Tous ce passe bien j’ai mon bac mon studio mon copain m’aime d’un amour inconditionnel j’ai une famille adorable soudé…Mais je ne suis toujours pas heureuse ….J’ai eu droit à de nombreux attouchements j’ai l’impression d’être une cyble .. Je me demande pourquoi moi ? Pourquoi je n’arrive pas a oublier a passer à autre chose a sortir a m’amuser.. j’ai l’impression que je suis brisée les souvenirs me hantes

  51. Bjr, après 43 ans, suite ay décès de mon père, le viol subit est remonté en surface. Je l avais occulté inconsciemment, car toutes ses années, rien, strictement rien. Seule, une détresse intérieur, que je ne comprenais pas. Aujourd hui, je vis cet épouvantable , ce viol comme un déchirement du corps. J ai réussi, chose incroyable, à me confier à mon gendre. Pourquoi lui ? Je n en sais rien..juste qu il fallait que ce soit ainsi..je m aperçois, que j ai mal, très mal au fond de moi, je n arrête pas de pleurer et c est cette situation qui me fait le plus mal. Pourtant j adore mon papa, je fais le deuil par des écrits, des poèmes qui me libèrent. Je l ai toujours fait, car mon enfance à été dans la solitude, un rejet de ma mère…..ce viol je l ai subit j avais 17 ans. Et 2 mois avant j avais subit un viol aussi, la différence, j avais pu en parler à mes collègues de travail ( restauration) qui rester tout comme moi, à dormir sur place. Je prenais la douche et je n en sortais plus. Cela les à mis en alerte. Ce 2eme viol…….les images, tout est revenu..les séquelles laissés sont si flagrants aujourd hui.. c est comme si pleins de portes s ouvraient en même temps, sans s avoir laquelle je dois prendre..j essaie de laisser vider tous ce mal qui finalement à empoiser ma vie..mes filles, je vais leur en parler ce jour, j ai peur mais je le ferais..seul mon gendre c est depuis le 24 juillet 2020. J ai depuis 2018 un cancer ovarien de stade 3. Cette année 2018, je cherchais seule, à comprendre certains aspects de mon comportement que mes enfants me disaient et mon mal être.. fin octobre 2018, je découvrais la 1ere étape.. d ou venait ma grande dévalorisation de mon moi..des émotions très fortes sont arrivées.. j ai compris ce jour que mon enfance en était la cause. 1 mois après, je fus prise de douleurs intenses et on me découvrait un cancer aux ovaires..je vais prendre contact avec un professionnel pour m aider à y voir plus clair et surtout plus rapidement afin de me reconstruite. Le positif ayant été toujours ma devise. Je suis consciente que je ne pourrais pas oublier, mais en corriger les séquelles pour moi et mes proches me permettra je l espère de retrouver une vie normale. Merci de cette création de page qui aujourd hui me permet et de me vider, d avoir lu des temoig.ages qui permettent de se sentir moins seule…MERCI…

  52. Bonjour je voudrais savoir comment faire pour avoir le contact de melissa l’auteur de cette articles car j’ai une amie qui a été violé.

  53. Salut jee suis Dona. J’ai rencontré un mec dernièrement ,il minvitait chez lui je refusais bien que je n’avais accepté à ses avances .Il m’a dis que si je ne viens pas chez lui qu’on ne pourra plus se voir. Parceque je voulais mieux le connaître afin de lui dire oui ou non j’étais allé chez ignorant les dangés. Le premier jour j’y étais il m’a forcé et ma embrasser. Parcequon s’est embrassé je me suis dire pourquoi ne pas sortir avec lui…J’ai accepté sortir avec lui parcequil ma donné des baisés.
    La seconde fois je suis allé chez lui il m’a forcé et ma fait l’amour. Après l’acte je me suis vu humilié moins que rien , j’avais refusé de venir chez lui ,il m’a mis encore la pression psychologuique je suis venu au moins quatre fois et toutes les fois il m’a forcé pour me faire des rapports sexuels, lorsquil finit de me violé et me voit triste il s’agenouille et demande pardon en pleur ,Finalement j’ai décidé ne plus aller chez lui, depuis des semaines il n’a Même plus chercher à me voir car il veut que je viens chez lui et parceque chaque fois que je viens il me force pour me faire l’amour j’ai pris la décision de ne plus aller chez lui et lui me met la pression de venir .
    Depuis deux semaines j’étais malade ,c’est comme si je suis vide ,que tout m’a quitté,je ne cesse de réfléchir et de regretter d’avoir mis pieds chez lui,j’ai un sentiment de révolte par rapport à lui qui m’anime, et il me demande même pourquoi je ne le pardon pas pour ce quil m’a fais. Je ne dors plus ,j’ai perdu goût à la vie,la vie pour moi n’a plus de sens,j e m’enferme à longueur de journée,jai perdu l’appétit. Je ne sais à qui raconté cette histoire,conseiller moi sur comment m’en sortir je vous empris.

  54. Bonjour Loubna,
    Il ne faut pas que tu gardes ça pour toi ! C’est important d’en parler.
    Tu trouveras des oreilles attentives ici : https://stop-violences-femmes.gouv.fr/A-qui-m-adresser.html
    Tu y trouveras notamment le numéro de « SOS Viols Femmes Informations » (0 800 05 95 95) Ils sauront t’orienter pour que tu ne sois plus seule avec ça, et pour que tu ailles mieux. Il y a aussi les noms de plusieurs associations.
    Tiens le coup ! Courage de toute l’équipe de la ZEP

  55. J’ai été violé plusieurs fois la 1ère fois par un groupe de 3 garçons du Cartier voisin j’avais 7 ans à mes 9 ans par mon beau-frère qui est en prison pour avoir aussi violé a petite sœur encore par un homme inconnu que je ne connais pas
    Je n’ai jamais eu le courage de la dire à mes parents ni à une personne de ma famille aujourd’hui j’ai 14 je vais avoir 15 ans le 4 juin
    Dans notre culture les femmes sans vierge sont considérées comme des p…. et moi j’ai pas je peux pas me marier après le bac sinon on va dire que je me suis faites déflorée exprès personne n’a jamais voulue me venir en aide j’ai toujours surmonté sa toute seule mais ça ne va pas je perds tout mes moyens je ne sais pas si je vais encore résister personne pour me comprendre personne pour me consoler personne pour me venir en aide

  56. Christelle,

    Tu trouveras dans mes commentaires plus haut des pistes pour essayer de dépasser cet épisode traumatisant.
    J’espère que tu trouveras une solution. Tiens le coup !

  57. Bjr moi osi j’ai étai violé a l’âge de 8 ans jusqu’à 17ans et maintenant j’ai 44ans je souffre j’ai fait plusieurs tentative de suicite et j’en fait encore j’ai u 3enfant et le jour qui oront l’âge de partir je mettrai faim a ma vie car j’ai pu envi de vivre depuis longtemps il m’a gâche ma vie il m’a détruit

  58. Bonjour j’ai été moi mène violé et depuis ce jours là je ne cesse de donner mon corps et pourtant j’aimerais me lancer dans une relation sérieuse mais j’ai peur de finir par le tromper qu’est-ce que je doit faire ? Et j’aime beaucoup votre arts à aide beaucoup.

  59. Bonjour Zoé,

    Regarde dans les commentaires, tu y trouveras des pistes pour t’aider.
    Même si en période de confinement peut-être que certains ne travaillent pas…
    Courage à toi.

  60. moi meme est été violer il y a 3 mois de cela je comprend ce qu’elle ressent mais moi je fais semblant d’aller bien .

  61. Bonjour,

    Quelqu’un saurait il me dire comment on peut contacter Melissa, l’auteure de cet article ?

    Bonne journée

  62. Voilà bonjour je vous écrit pour m’aider un peut ma copine c’est faite violer y’a 2 ans elle en a 15 aujourd’hui elle en a parler qu’à moi elle n’a pas le courage d’en parler à qui que se soi elle se sens sale elle se sans faible et le gars qui lui fait subir sa revien en dizan a tout le monde elle c’est faite violer plein de chose comme sa depuis ma copine et en larme jdors plu les nuit Jsui plu bat que terre j’ai peur pour elle elle souffre je souffre également je la soutiens je dit dés mot vraie j’la laisse pas dite moi dés conseil svp

  63. Ne te fous pas en l air pour Cet enfoiré! La vie reserve tellement de belle chose! Tu ne peux pas dire ca Tu as quel age ??

  64. Bonjour et merci
    J’ai lu l’article ainsi que les commentaires, on peut dire qu’ils résonnent en moi comme pour beaucoup de personnes j’ai l’impression.
    Je vais alors, à mon tour, partager mon histoire avec vous.

    J’ai mis du temps à me rendre compte que j’ai été violée par mon ex l’année dernière. En effet, il a fallu qu’il s’excuse de ce qu’il m’a fait par messages pour finalement que je m’en rende compte, ça a été comme un déclic violent et choquant.
    Je me sens coupable et honteuse,
    comme si c’était de ma faute.

    Je n’arrivais pas à me rendre “victime” d’un “viol”, des mots qui font peur ; cela me paraît tellement loin de moi, je suis comme anesthésiée.
    Parfois, je revois la scène en tant que spectatrice, et je ne ressens aucun sentiment.
    D’autres fois, je ressens la douleur éprouvée et j’aimerais avoir le pouvoir d’empêcher ça.

    Ça ne pouvait pas m’être arrivé. Quand on parle d’un viol, la plupart du temps, on pense à un violeur dont on ignore l’identité,
    un inconnu, on ne pense surtout pas à son propre copain. Je me sens si bête.

    C’était ma première fois et depuis, je ne peux pas avoir de relations avec un homme même si j’en aurait l’envie. J’aime un homme mais je ne peux rien lui donner.
    Ce qui m’est arrivé, j’en ai parlé seulement à une personne de ce qui s’est passé.

    Je me fais du mal, c’est comme un besoin afin d’essayer de me libérer du mal que je ressens si fort en moi. Je déteste tout de moi, mon corps, … Enfin tout.

    Je n’arrive pas à le détester, et je le déculpabilise en disant qu’il ne savait pas ce qu’il faisait. J’ai gardé contact avec lui en tant qu’amis et je me déteste pour ça. Je ne me comprend pas, je lui ai pardonné mais je n’arrive pas à me pardonner. Je crois que je n’ai jamais réussi à lui en vouloir.
    Quelquefois, j’ai l’impression que ce n’était pas moi, mais une autre personne qui a subi ça.

    Je me dis qu’il faut oublier, qu’il faut passer à autre, mais des fois je pleure d’un coup sans le vouloir et ça refait surface.
    Ça a trop de répercussions sur ma vie d’aujourd’hui, je n’ai plus aucune motivations, aucun projets, Des fois, je dors pour ne pas y penser ou bien je marche longuement.
    D’autres fois, je ressens l’envie
    de lire et d’écouter des témoignages, et celà me permet de ne pas me sentir trop seule. C’est dur de trouver une solution à ces problèmes. Même si la volonté est là, on ne sait pas toujours par où commencer pour s’en sortir.
    Je suis assez pessimiste sur mon avenir. J’aurais voulu avoir un mari, fonder une famille … ; mais ça me paraît irréalisable. En fait, je préfère vivre au jour le jour, ne plus faire de projets, je préfère me foutre de tout. Mais je suis consciente que ça ne me rend pas heureuse. Au fond de moi, je me sens brisée, je suis des petits morceaux de verre, des restes. Je ne mérite rien de bien.
    J’aimerais être plus forte et cesser de subir les conséquences de ce viol.

  65. Merci Elliot de m avoir répondu, j’ai regardé sur le site que tu a mis en commentaire mais je peux pas appeler depuis l Australie ça marche uniquement en France ou en DOM

  66. Bonjour,
    Je pense aussi que tu devrais en parler… ta mère doit savoir qui est l’homme avec qui elle vit et ce qu’il t’a fait subir. Jamais elle ne te détestera pour ça : c’est toi la victime.
    Si tu ne veux pas leur en parler ou pas tout de suite, tu trouveras dans mes anciens commentaires plusieurs contacts d’associations ou de sites à regarder pour t’aider à avancer.
    Courage à toi, de toute l’équipe de la ZEP.

  67. Moi je suis faite violé à l âge de 10 ans par un homme de 35 ans a l epoque, ce monstre est le compagnon a ma mère!! Personne n est au courant aujourd’hui j’ai 26 ans je me suis echapé de la France il y a 4 ans pour vivre en Australie a fin de plus le croiser, et j’ai pu enfin me liberer à un amis proche en Australie et il ma conseiller d en parler à ma famille le plus vite possible j’ai vraiment la trouille ma famille vont me détester parce que je l’ai jamais dis a ma mère auparavant elle s est mis en couple avec cet homme la même année ou je me suis faite violé j hésite à en parler à ma famille et je sais même pas si de l Australie à la France je peux porter plainte

  68. Bonjour
    Je parle au nom de ma fille 17 ans qui a subi un viol il plus d’un an et demi tout de suite j’ai mis avec elle en route la procédure judiciaire
    Nous sommes arrivées en fin d’instruction
    Le procureur de la république demande un non lieu pour preuves légères je ne l’ai pas dit à ma fille j’ai peur de sa réaction que faire ?
    Nous attendons la décision du juge d’instruction

  69. Bonjour ;
    Pas facile d ecrire son passé . pouvoir exprimer sa souffrance , son mal etre ; et continuer de vivre tant bien que mal ….
    aujourd hui j ai 55 ans ; J AI demandé le divorce a 50 ans et descente aux enfers 1 an après .
    crise de panique ; peur de tout ; isolement ; plus de vie sociale ,
    insomnie , je me suis mise a boire , ce fut mon effet déclencheur de mal etre ; je ne buvais pas avant ! bref le questionnement a commencer ! que m arrive t il ? quis suis je ? je n etait pas comme ca avant ? tentative d auto destruction ?
    je suis forte de caractàre , une copine m a conseillé une thérapeute kinésiologue et j ai commencé la thérapie qui ma fois m a durée 3 ans 1/2 .
    mon corps avait occulté mes souffrances du passé parce que je n était pas prete a la contreverse . comback sur ma vie . découverte de l inseste a 4 ans ( aucun souvenir ) le corps humain est une véritable machine de guerre ; il enmagasine votre vie crée des tensions et des douleurs pour vous aidé a soigné votre mental
    ( les mots pour le dire de lise Bourbeau ) ect .
    a 16 ans ; dans un lycee proffessionnel 800 garcons 3 filles
    et la 1 ere tentative groupé de viol. sous prétexte que je suis un garcon manqué ,, ces jeune hommes ont voulu vérifier si j etais bien une fille ! cela s est pas dans les couloirs des travaux pratique
    encercle par je ne combiens de garcons ! je me suis retrouver allongé par terre mes vetements déchirés , criant et me débatant ;mon prof est arrivé et l histoire s est arrete la ; pas de sanctions pour eux , mais pour moi arret total du bahut! je n ai pas porté plainte et je n en n ai pas parlé a ma mère : dépresive !
    bref j ai tourné la page , et suis rentré en apprentissage de cuisine ,métier d homme a l époque très peu de fille en cuisine .
    a 20 ans , je suis monté a Paris , a l époque j étais professionnellement reconnue , valorisé verbalement , j ai fais mes preuves , gagné le respect de mes collègues jusqu au jour fatidique ! ils ont voulu verifier si j etais bien une fille ! rebelote
    allongé sur le plan de travail garde manger et une mise a l air
    , gratuite ; humilié publiquement ! oh c est rien ! juste le droit
    de se sentir salie !
    et comme si cela ne suffisait une 3 eme fois , en corse a 23 ans
    j etais serveuse donc en fille ; logée nourrie ,par le patron : studio indépendant et un a 1 h du matin ! on tape violament a ma porte cri et menaces de défoncé la porte si je ne l ouvrais pas !
    la peur au ventre ,j ai ouvert ,c était mon patron etat débriété
    ;il m a progeté sur le lit déchiré ma chemise de nuit : battue et oui un homme faible emploi toujours la violence pour obtenir ce qu iul veut . la peur au ventre ; je me suis débattue et criée autant que je pouvais ;;le pire cauchemar de ma vie . Ma voisine
    est venue me sauvée en entendant mes cris et menacé d appeler la police ; Jétais tétanisée inerte , incapable de pensée ; les menaces de mon agresseur si je portais plainte mon anéantie .
    j ai quittée la corse avec l aide de cette voisine et retour en france .je n ai jamais raconté mon histoire avant cette thérapie :pour dire que tot ou tard le corps se réveille pour nous faire comprendre
    qu il faut trouvé le chemin de la guerison .
    La descente au enfer après mon divorce m a permis de comprendre qui j étais ; un homme ne pouvais pas me toucher
    et au jour d aujourd hui , je suis une femme +- guérie de l homme
    je ne me sens plus coupable , ; j ai renouer avec l homme avec la danse a 2 ; mais toujours pas d homme dans ma vie privée ! je ne suis pas certaine de pouvoir retrouver une vie sentimentale a 2 !
    mode de guérison ; kinésiologie ; mouvement sensoriel ; hy pnose et PARDONNER A L HOMME ! je sais difficile ; je l ai fais et
    la preuve ; j écris ces quelques mots aujourd hui alors qu il y a prescription ! la loie est ainsi faite !
    32 ans de mutisme , mais quelle soulagement aujourd hui je me sens libérée d un obu , alors mesdame a vous de prendre votre courage a 2 mains et de franchir la porte de therapie comportementaliste médecine parallèle , relevéé la tete vous n etes pas responsable de CES actes de violences gratuites ,humiliante et dégradante pour nous les femmes ! relevée la tete
    et regarde devant vous , ne baissée plus les yeux quand un homme vous déshabille du regard , mais fuyée le la tete haute.
    j espère que mon témoignage servira.

  70. ces tellement difficile

  71. Si seulement j’avais la force.

  72. Bonjour,
    Bravo pour ce témoignage et ce courage. Ça m’attriste de voir autant de commentaires provenant de personnes victimes de viol.
    Dans mon cas, je ne sais si on peut parler de viol. Il y a 6 ans, (à 16ans) un homme a profité de moi et du fait que j’étais alcoolisée pour me toucher sans mon consentement. Je culpabilise encore, je me dis que que c’est ma faute et que ce n’est pas grand chose, que d’autres ont vécu bien pire et que je devrais passer à autre chose.
    Mais cela m’affecte encore.
    Je ne sais pas quoi faire
    Vous avez des conseils ?
    Merci beaucoup

  73. Très beau témoignage. Je te félicite pour transmettre tout ce vécu. Est ce que je peux te contacter par mail. J’ai besoin de ton aide et conseils pour ma belle fille.

  74. Moi je suis rester sans parler depuis 2015 voilà seulement que je me confie à ma coiffeuse

  75. J’aurai aimé lire un tel article pour pouvoir déculpabiliser et amorcer plus rapidement la reconstruction.
    Je souhaite compléter ton article par le fait qu’un viol peut se présenter sous une autre forme qu’une agression physique. Dès lors qu’une femme émet un refus d’avoir une relation quelconque avec quelqu’un (homme ou femme), nous entrons bien dans un viol, avec les répercussions physiques et psychologiques qui perdurent souvent durant des années.
    Si vous avez le moindre doute, parlez-en à un professionnel de santé qui saura mettre des mots sur vos maux.
    Ne restez pas seule dans le doute, la culpabilité ou la douleur !

  76. Je me retrouve dans ces témoignages. Moi même j’ai été victime de viols répétés, viols en réunions, avec actes de barbarie, sadisme… Lorsque j’avais 16 et 17 ans. Tout ressort depuis 10mois car j’ai maintenant 39 ans. Je fais des cauchemars, des images tournent en boucle dans la tête. Ça n’est pas tjr facile car il m’arrive d’en venir à des autos mutilations, que je regrette ensuite mais pas évident de surmonter tout ça. Je me fais aidée par mon médecin toutes les semaines (médecin extraordinaire) et je vois un thérapeute tous les 15j car je souhaite m’en sortir pour l’ instant je pense bcp à mon mari et à mes 3 enfants ce sont eux qui me maintiennent debout. Je ne perds pas espoir même si certains jours sont très difficiles. Courage à vous vous allez vous en sortir

  77. Bsr ou bjr à ceux qui le lisent je préfèrerais rester dans l’anonyma j’ai été l’esclave sexuelle de mes cousins à l’âge de 4ans.
    Chacun avait son tour avec moi et quand c’était le tour de l’autre on le faisait au salon quand y’avait personne il mettait un cd pornographique et je devais le reproduire avec lui ces images ça a duré 1ans. Je suis encore traumatisée ça fait 11ans maintenant je faisais des cauchemards , je pleurais, je déteste mon corps qui a été sali .
    J’ai perdu ma virginité sans le vouloir et le comble je ne sais même pas qui me l’a enlevée. Je les maudis d’avoir gâché ma vie et j’en veux énormément à mon père pour ce viol car c’est lui qui les a emmenés à la maison.
    Pourquoi je n’ai pas parlé parce que j’avais que 4ans on m’avait appris qu’il fallait obéir je ne savais pas que c’était pas normal et le comble c’est qu’ils ont pas payé.
    Où est la justice? J’en veux beaucoup à Dieu d’avoir permis cela

  78. Bonjour à vous,

    Je vous invite à remonter dans les commentaires, j’ai déjà fréquemment donné des pistes de solutions à des personnes dans des situations similaires.
    L’important est d’avoir les bons interlocuteurs. Je donne quelques numéros et pistes pour trouver des solutions.
    Courage à vous.

  79. J ai subi une agression sexuelle il y a peine 48h … je n arrive pas à dormir. J ai passé des examens dans un centre spécialisé, prise en charge exceptionnelle vraiment et j ai porté plainte. Mais je me sens mal. Sale. J ai peur . J appréhende le futur. Comment je vais gérer. Les crapules qui se permettent de nous faire subir ça, devraient être punis. Mais c est tjs parole contre parole.

  80. Bonjour, je vous écris mais avec un peu de mal, je me suis faite viole à 13 ans j en ai donc actuellement 26 ans. Je n en ai jamais parler à personne jusqu a cette semaine à un ami. Qui ma dit d essayer de trouver des réponses et de parler.

    Il y a un moment j avais su passer au dessus et la maintenant tout reviens car ce jeune monsieur qui ma violer et revenu rhabiter dans la commune. Donc la peur est plus la que avant. (C était un garçon que je me suis mise en couple avec) mais quand sa c est fini plusieurs semaine après je suis retournée chez mon papa et c est la que sa c est passée… Donc quand je retourne la bas les souvenirs me remémore je revoir toute les images.

    Mais le problème c est que je suis en couple maintenant et je ne fait rien je peut y rester 1 mois 2 mois 1 an sans rien faire tellement que sa me dégoute réellement

    Désolé pour le romans mais je ne sais pas trop comment en parler et m y prendre merci beaucoup bonne journée

  81. Ma petite amie vient de m’annoncer après plus de huit mois de relation qu’elle avait été victime de viol il y a environ cinq ans quand elle avait 16 ans. Elle m’a dit qu’elle ne veut plus vivre avec un homme malgré le fait qu’elle ressent une attirance vis à vis de ma personne. Moi, je souhaite la prendre en mariage et vivre une vie sexuelle normale avec elle mais je la sens bloquée dans la tête avec une facilité d’idées noires et de pessimisme, une tendance à la solitude… Comment l’aider, la convaincre et entretenir une vie de couple parfaite ?

  82. que c’est difficile d’avancer j ‘ai toujours envie de pleurer mais je n y arrive pas, j ai envie de tout casser je ne peux plus me regarder je deviens boulimique je ne m ‘arrête pas de manger et je ne parle pas je m’exprime uniquement en écrivant. tout me fait peur même de sortir. je n ‘ai plus envie de faire quoi que ce soit. j’ai gardé ce secret en moi pendant de nombreuses années et ça a resurgi depuis peu je ne sais pas pourquoi je fais des crises d’angoisse jours et nuits et surtout des envies suicidaires. mes nuits sont très courtes et agitées. je n arrive pas a franchir le pas pour aller voir un psy.

  83. Que c est difficile de vivre avec cette haine, ce dégoût de soi.
    Moi j avais 4 ans et demi et c est mon cousin de 19 ans qui a abusé de moi. J ai toujours été très mal dans ma peau, à me sentir différente, bizarre. Et a force de thérapie et de question sur mes comportement peu “normaux”, (plein de relation sexuel, difficulté à garder mes amitiés, colères……ect et surtout envie suicidaires, 8 hospitalisation en clinique psychiatrique) les souvenirs sont remontés et quel choc (surtout grâce à emdr)….. pour moi ca a vraiment été d une violence, j était incapable au début d employer le mot “viol”. Je l aimais mon cousin et je crois que le pire ca été une fois ou ses parents, mon oncle et ma tante l on surpris sur moi, j ai été éjectée dans un coin de la pièce, (à cet instant précis j avais qu’une envie c est de disparaître déchirer mon corps) et ma tante criais: “vous vous rendez compte si elle parle”……..et de me prendre les 2 poignets et de me regarder fixement en me disant: “dis que tu diras rien!! Dis que tu diras rien!!” Quelle horreur. J ai donc mis 36 ans à me souvenirs, aujourd hui j’en ai 44. Je l ai dénoncé après une énième Tentative de suicide…. et l ai même rencontré. Pour lui, il c est positionné en victime et j ai ce sentiment atroce de ne jamais inconsciemment avoir quitté , enfin mon esprit est toujours bloqué à ces événements (J ai 5 scenes avec une précision incroyable). J ai réussi malgré tout à avoir une vie professionnel je suis célibataire sans enfant, et aujourd hui je ne l en sort pas du tout. Je m isole j ai l impression d être totalement coupée de la vie.
    Je me demande pourquoi on doit en passer par la? Courage courage à toutes et tous, c est une douleur inexplicable à vivre…..

  84. Bonjour Lynah,

    Tiens le coup ! C’est terrible ce qui t’es arrivé et tu devrais en parler. Il y a des gens qui peuvent t’aider à reprendre goût à la vie et peut-être à rendre justice pour ce qui t’es arrivé. Tu vas y arriver, pas à pas. Regarde dans les commentaires précédents, j’ai, de nombreuses fois répondu en conseillant des numéros à appeler, des gens à contacter ou des démarches à faire. Ce n’est pas la fin en tout cas, tu vas t’en sortir j’en suis sûr.
    Courage à toi.

  85. J’ai était victime de viol il y a quelques semaines, je ne sais pas comment m’en sortir, je n’arrive pas à enlever ce problème dans ma tête. Je n’ai qu’une seule chose dans la tête, l’envie de mourir…. Je ne trouve plus le sens de ma vie, je ne sais plus à quoi ça sert de vivre après une tel chose.

  86. Tiens le coup !

  87. Bonjour Ophel,
    Ne te décourage pas ! As-tu des personnes en qui tu as confiance et qui te soutiennent ? Il faudrait que tu puisses parler à quelqu’un capable de t’aider psychologiquement, comme un.e psy, un.e infirmier.e. Il y a aussi « Stop Violences Femmes » https://stop-violences-femmes.gouv.fr/A-qui-m-adresser.html , tu pourras y trouver une oreille attentive.
    Ne lâche pas l’affaire, tu vas t’en sortir !
    La ZEP

  88. Aujourd’hui. J’ai 16 ans, à l’age de 7 ans meme moins je ne sais plus vraiment . Mon pere ma touché ou me bloquer quand je voulais pas … sa a jusqua mais jusqua11 ans . Quand c’est are penser que tranquille , que jallais bien. a l’âge de mon frere ma lui aussi toucher ainsi que les masturbation etait presant . Aujourd’hui jai 16 ans , jai parler ma patronne du salon de coiffure , et elle ma aider a aaller au commissariat , une plainte a ete poser , et je vis chez ma soeur , mais jai limpression detre rejeter , jai des crise dangoisse je suis clostrophobes et jai des toc … javais limpression daller bien mes je me suis vite rendu compte que se netait pas le cas , jai limpressions de servir a rien ici, jai souvent des envie suicidaire , et je nai pas envie davancer, mes mes amie ne comprene pas mon malaitre et il y a meme pas 5h de cela un ami ma dit que je pouvais repartir de , que eu tout mon temps pour pleurer et en me disant que je devais me relet je c’est que c’est parcmer , ma confidence face a mon passer et quil a reagi zero parce qu reagissijais caquiareagiss parceque ses mot m’ont blessé… mes j’oublierais jamais mon passé.

  89. Peu importe ton attitude, rien ne justifie un viol. Ce ne sera jamais ta faute. Courage, et n’hésites pas à regarder les liens, numéros et commentaires au-dessus, ça peut aider.

  90. J’ai connu 3 hommes dans ma vie. Les 3 m’ont violée. Dois-je vraiment penser que je n’y suis pour rien? Difficile dans mon cas….

  91. Bonjour je m’appelle Christelle , et j’ai 31 ans et j’ai subit des attouchement sexuel et viols, quand ma mère s’est remarié et la mon enfer a commencé j’allais sur mes 10, et j’ai subi sa jusqu’à mes 21 ans et ma mère ne m’a pas cru elle m’a traité de menteuse mais pour moi c’est dur, j’ai rencontré un garçon a qui j’ai eu un garçon , et la je les quitter car il me respectait pas ,est là je suis tombé exactement pareil mon copain par moment me respecte pas il me rabaisse est il m’a mm demander si mon histoire je l’avais pas inventé pour le mettre en prison et touché son argent du coup je me sens seule sur sa je vois une psychologue dans le emdr ça fait pas longtemps que j’ai commencé mes c’est dur de vivre avec ça.

  92. Ma fiancée vient de m’annoncer qu’elle avait été victime de viol durant son enfance, maintenant j’aimerais la marier mais j’aimerais savoir des astuces pour m’aider dans ma vie de couple… Comment l’aider et entretenir une vie de couple parfaite ? Merci d’avance.

  93. Superbe article intéressant. J’ai été victime aussi de deux viols par mon frère. 30 ans après il me traumatise, essaye de m’atteindre encore. J’ai parlé à ma famille, personne me protège, c’est un cauchemar. Mon trauma était si fort que je suis devenue amnésique durant 15 ans. J’ai 55 ans, je me retrouve, je ne me connais pas, je souffre du manque de soutien de ma propre famille, je recherche un livre parlant des réactions des proches. Je voudrais un peu d’aide car je me sens tellement rejetée. Je ne comprends pas pourquoi ils côtoie ce frère qui me harcèle, je me sens en danger, je fais du self défense pour me rassurer. La police n’a rien fait. J’ai porté plainte trop tard et lui sait qu’il y a prescription. Je dis ouvertement à toutes victimes de viols, levez-vous, bâtez-vous, entourez-vous de personnes positives à vos yeux, fuyez ceux qui ne vous respectent pas, cela vous aidera à guérir. Si quelqu’un connait un bouquin concernant famille viol réactions…

  94. Je suis très touché par cette article ! J’ai été victime aussi y a quelque années et cela fait quelque mois que mes proches sont au courant.
    Courage à vous les filles ! Et n’ayez pas peur de dire à quelqu’un !

  95. Bonjour
    J’ai subi un viol, j’avais 13 ans. Mon frère. J’ai 61 ans. Et j’en ai parlé à ma mère il y a quelques mois. Hier nouvel échange sur ce viol.
    Sa réponse ‘oh, maintenant, moi je suis vieille. Que veux-tu que j’y fasse ?
    Elle nie ce qui s’est passé pour être tranquille. Évidemment, ce frère toxique est son chouchou depuis que mon père est mort. De plus, à 90 ans, elle nie encore que nous étions des enfants battus par leur père.
    Ce qui est révoltant, c’est de comprendre que des adultes refusent de protéger leur enfant, même quand ils savent.
    J’attends que ma mère demande des comptes à mon frère.
    Tout cela est resté enfoui jusqu’à mes 54 ans. Aujourd’hui, j’ai commencé à parler et je ne vais plus m’arrêter.
    Je demande justice et réparation pour ce viol. Et je vais aller exprimer cela auprès de cet homme toxique.
    Même s’il ne reconnait rien, je vais lever ce secret de famille.
    Beaucoup de lumière pour vous tous et toutes qui ont ce secret en eux. L’oubli n’est pas possible mais vous avez le droit de vivre heureux

  96. bonjour,
    je suis christian, j’ai rencontré une jeune et belle fille en 2012 nous avons fait connaissance et avons noué une relation sentimentale qui a abouti au mariage en janvier 2013. En effet, au jour d’aujourd’hui elle est mon épouse et nous avons 3 enfants. Il y a a peine 3 semaines, j’ai appris par une personne interposée que mon épouse a du subir un viol dans son enfance. Raison de son comportement introverti je me suis rapproché d’elle pour m’enquérir de la situation qu’elle a confirmée et m’a dit qu’elle l’a subi à l’âge de 9 ans. Ensuite après plusieurs questions elle me dira qu’elle en a fait part à ses parents 5 ans après. Ses parents se sont sont rapprochés de ce voisin responsable du viol qui selon ses dires a nié les faits. et ses parents n’ont pris aucune initiative par la suite ni pour la sanction du violeur ni pour trouver une solution qui traumatise mon épouse depuis plus de 22 ans aujourd’hui car elle a 31 ans. Pour être franc après plusieurs observations chez mon épouse, j’ai toujours su qu’elle avait un problème profond qui l’accablait mais elle n’osait pas en parler.
    Le responsable de cet acte odieux est encore en vie et a été victime d’un accident vasculaire cérébral.Je souhaite monter au créneau pour la justice afin qu’il réponde de ses actes. Aidez-moi je vous en prie a reconstruire l’état psychologique de mon épouse.
    Merci.

  97. Bonjour Haoua,

    Si tu remontes dans les commentaires tu trouveras des infos de ma part. Démarches, numéros à appeler, etc…
    Tu n’es malheureusement pas seul dans cette situation. Je te conseille d’en parler, à quelqu’un, que ce soit tes parents, un psy ou la police, pour commencer à te libérer de tout ça et trouver des solutions. Courage.

  98. Bonjour. J’ai aussi été victime d’un viol à l’âge de 7 ans par un cousin je sais plus quoi faire il ne se passe pas un jour sans que je repense à ce qui m’est arrivé. Je sais pas non plus comment le dire à mes parents, j’ai actuellement 20 ans bientôt 21. J’ai besoin de vos conseils svp.

  99. Bonjour à tous violée et tombé enceinte, je suis mariée, mon mari me donne aucun soutien moral, je me sens abandonnée.

  100. J’ai trouvée que cet article est très touchant et m’a beaucoup appris. Je tenais à te remercier d’avoir parler pour tous ceux qui souffrent et sont restés dans le silence le plus complet. J’ai conseillé à une amie de lire cette article et des démarches ont été effectuées. Pour le bonheur de ses proches et le sien surtout, elle se remet et se lève tous les matins déterminée !!! Merci beaucoup pour ton aide précieuse.

  101. Merci pour ton courage, pour reprendre ta bienveillance..
    Tu es une bonne personne ..

  102. Je cherchais à comprendre pourquoi j’avais autant peur de cet homme avec qui j’ai vécu pdt 5 ans, relation que j’ai arrêté en 2011, je pensais qu’il n’y avait eu que des violences conjugales sous toutes formes à proprement parler…. J’étais dans le déni total, malgré les cauchemars et les flashs back… J’ai arrêté de nier il y a presque 2 mois, à cause d’une courte relation où il y avait “forcing”…. Maintenant je comprends plein de mes réactions corporelles, psychiques et émotionnelles….
    Je n’oublierai jamais, ni ne pardonnerai tout ce qu’il m’a fait subir…. Je veux juste savoir comment ne plus avoir peur de lui
    Merci

  103. Je suis en début de thérapie emdr, qui permet de traiter les troubles du comportement dus à des traumas répétés, sexuels et violents.
    Je laisse ici le site ou les thérapeutes emdr sont répertoriés, je pense que cela peut aider de nombreuses personnes…
    Il faut s’accrocher..
    http://www.emdr-france.org/web/quest-therapie-emdr/

    Merci pour votre courage, et votre grandeur dans l’écoute et le partage

  104. C’est déjà bien d’en parler à un psy je pense ! Il saura discuter avec toi de l’utilité de porter plainte et d’en parler à tes proches.
    Je ne pense pas qu’ils t’en voudront, ils seront surtout là pour te soutenir !
    En parler c’est le digérer et réagir c’est faire justice. (Et éviter qu’il s’en prenne à d’autres…)
    A ton rythme, tu vas t’en sortir j’en suis sûr.
    Force à toi !

  105. Bonjour,
    J’ai été victime d’abus sexuel par une personne que je considérais comme un ami… J’ai pris rendez-vous avec un psychologue, mais je ne souhaite pas porter plainte… Je n’en ai pas encore parlé à mes parents par peur… Ce soir là j’avais bu, et j’ai peur que mes parents réagissent mal. Je ne sais pas si j’aurais le courage de leur dire. Depuis ce fameux soir, je ne fais que repenser à ce qu’il sait passé. J’ai maintenant peur de recroiser cette personne alors qu’il y a encore peu il était pour moi un véritable ami. J’ai si peur de ne pas réussir à passer à autre chose…

  106. Cela fait deux mois que je suis en couple avec une fille.On s’est connu á l’aide d’une amie qui m’a donné son numéro.Tout allait très bien jusqu’á ce qu’elle commence á ne plus répondre rapidement á mes textos,á les lire et á ne plus me prêter attention.On s est rencontré une fois,ensuite elle m’a dit que la prochaine fois on sera chez elle. Quand on s est rencontré on faisait l’amour,jusqu’á ce qu elle commence á s’énerver et á me dire de ne plus la toucher.Je l’ai obéit.Hier soir,j en pouvais plus de son comportement,je lui ai dit que je voulais qu on parle..et c est lá qu elle m’avoue qu’elle a été violée.Je ne sais pas quoi faire.Je ne veux pas la perdre et elle s éloigné de moi de jour en jour.Dois je lui laisser du temps?Après elle va peut être revenir?Comment la convaincre qu elle peut compter sur moi et que j’en suis lá pour l aider á dépasser tout ça, je n’en sais plus rien

  107. bonjour
    apres avoir connue l ‘inceste avec mon père pendant des années
    aucun soutien de ma famille en septembre 2018
    je suis agresse chez moi et violée j’ai 66 ans apres un depot de plainte au commisseriat je passe pour une menteuse
    depuis j ‘ai envie de mourir j ‘ai honte pourquoi personne veut entendre

  108. Bonjour je ne sais pas vrmt si j’ai été abusée en fait j’ai tjr pense que si mais j’ai préféré me dire que non.. Presque deux ans après je commence à me dire que ce fut bien le cas. Mais je me sens quand tjr fautive et honteuse..

  109. Aujourd’hui j’ai 33 ans et à l’âge de 6 à 11ans j’ai subi plusieurs viols par un membre de ma famille. Et de 11 à 15 ans, j’ai subi des attouchements sexuels par le mari de la meilleure amie de ma mère. Aujourd’hui il est derrière les barreaux car il y a plusieurs victimes (10 en tout) dans l’attente d’un procès. Pour l’autre agresseur c’est très dur car il est âgé 84 ans. Pour moi ils ont brisé ma vie, je pourrais jamais me reconstruire, j’ai la peur des hommes, manque de confiance en moi.

  110. Cet article est vraiment bien pour les personnes qui veulent comprendre le pourquoi du comment ou pour s’aider à s’en sortir eux-mêmes.
    Plusieurs personnes m’ont fait des réflexions comme quoi c’était de ma faute et que c’était bien fait car j’avais été trop naïve je ne sais toujours pas comment quelqu’un arrive à dire de telles choses et ne pas se remettre en question…
    Je vais avoir 17 ans et ça m’est arrivée il y a 2 ans, j’ai gardé le secret au début même pour moi en me disant qu’il ne s’était rien passé, j’avais assez de problèmes pour en avoir un de plus de cette importance.
    J’en ai d’abord parler à ma soeur, ça a été la première à le savoir, elle m’a énormément aidée en me répétant que ce n’était pas de ma faute et que la seule victime dans l’histoire c’était moi, le deuxième a été mon frère qui n’a pas réagi plus que ça, ce qui m’a fait très mal et qui me touche encore maintenant, ensuite mes ami(e)s proches l’ont été. En effet, il y a pas mes parents dans le lot.
    Ils ont été les derniers au courant enfin d’abord ma mère et par la suite mon père. J’ai eu une année d’école très tourmentée, je n’allais plus à l’école, je travaillais jamais et j’ai commencé à fumer aussi, je parlais jamais, mon caractère et mes émotions ont changé pendant cette année. Ca s’est passé chez moi, j’avais 14 ans, mes frères et soeurs n’étaient pas la et mes parents m’avaient laissé toute seul à la maison… Le fait de ne pas leur en parler et d’avoir cette haine constamment envers eux est de ce fait la, de m’avoir laissée toute seule, mais que mes parents ne soient pas au courant de ce qui m’était arrivé était encore plus douloureux. Au final, ça n’a pas changé grand chose, ça les a peut-être même empirées.
    Je pense que les personnes atteintes de ce genre d’abus devraient trouver la force d’en parler le plus vite possible et que leurs proches soient la pour eux en permanence… en tout cas moi j’en aurais bien eu besoin…
    Ne vous laissez pas abattre, on est fort et on va s’en sortir !!!

  111. Merci pour ta contribution…j’écris un projet de film en ce moment sur une jeune femme que j’ai connu il y a un an. Une femme plein de vie, elle s’amuse comme une gamine de 5 ans j’ignorais qu’a cet âge on lui avait déjà volé son enfance…

  112. Malheureusement au jour d’aujourd’hui les violeurs s’en sortent pratiquement toujours avec juste une petite amende et 2 mois de sursis

  113. Bonjour à toutes,
    Vos témoignages sont bouleversants. J’aimerai tellement pouvoir effacer toutes violences faites aux femmes et aux enfants. Chacune d’entre vous est infiniment précieuse. On ne touche pas le corps d’une femme sans son autorisation. Aussi victime pendant 15 ans, aujourd’hui à 44 ans, je ne sais toujours pas comment apaiser toutes ces angoisses, ces peurs, cette colère. Mais vous lire me donne le courage d’essayer d’affronter tout ça. Rien n’est facile, plus rien n’est innocent, jamais je n’oublierai. Mais je ne veux pas mourir un jour en me disant que je n’ai pas vécu. Je ne sais pas comment m’en sortir . Comment re-vivre plutôt que survivre ? Comment dépasser cette peur et retrouver un peu d’insouciance. Je ne sais pas comment. Mais pour vous toutes qui écrivez et partagez votre vécu et douleurs, je vais essayer de vivre. Et une dernière chose : la victime n’est jamais coupable ! Jamais. Les gens adorent trouver des coupables aux situations difficiles à entendre. C’est leur moyen de se protéger eux-mêmes car ils ont peur ou sont ignorants. Le seul coupable est le ou les salopards qui ont abusé de leur force physique ou emprise sur la victime. C’est vous la victime, c’est vous qu’on doit aider et protéger, pas l’inverse. Ca fait 30 ans que cette culpabilité me tue. J’ai aussi entendu ces phrases à la con “C’est que vous avez fait quelque chose pour provoquer ça “. Cette phrase (entendue d’une policière ) me hante depuis 30 ans. Je veux que ça s’arrête. Le peu d’énergie qu’on a encore doit servir à nous renconstruire et non pas à nous justifier auprès de ceux qui ne savent pas. Je vous envoie plein de force.

  114. Bonjour Marie,

    Il faut bien sûr continuer à vivre mais aussi en parler ! Si tu sais avoir été victime d’un viol va en parler à la police, à des proches ou au moins à un psy. Il ne faut pas laisser traîner cela, pour qu’on te rende justice et que tu puisses avancer. Force à toi,

    La ZEP

  115. Cet article de 2014 est très important pour moi , encore à l’heure actuelle. J’ai 17 ans, j’ai vécu un viol à 16 ans. Je n’arrivais pas à placer le terme « viol » sur ce qui m’est arrivé étant donné que c’est mon ex-Petit copain qui m’a fait ça. Je n’arrive plus a m´aimer. Je me sens littéralement humiliée et dégoûtée et seule. Cet article montre peut-être qu’il y a une chance de revivre normalement.

  116. Bonjour, merci beaucoup pour ton témoignage. Via mon travail, j’ai rencontré une jeune fille de 17 ans, agressée et/ou violée à plusieurs reprises par plusieurs personnes. Quand elle essayait d’en parler à ses “amies”, la réponse était malheureusement un douloureux “tu exagères” ou “ce n’est pas si terrible”. Elle a une force intérieure incroyable et elle avance. Mais c’est dur. Aujourd’hui je lui ai dit que son corps lui appartenait et que personne n’avait le droit de la toucher sans son consentement. Elle m’a dit que j’étais le seul à lui dire ça. J’ai trouvé ça effrayant. Quelle société banalise à ce point le viol ? Pour le moment, j’ai surtout beaucoup de mal à lui faire accepter qu’elle n’est que la victime : cette jeune fille est si pure qu’elle a peur de leur faire du mal – malheureusement, les gens malintentionnés jouent aussi là-dessus pour la faire culpabiliser. Vos témoignages sont très importants pour moi, pour me guider sur comment l’aider ; et pour elle. Merci.

  117. Bonne chance a vous tous courage

  118. Alicia, il ne faut pas désespérer !
    Regarde dans les commentaires au-dessus, il y a des numéros à appeler qui pourront t’aider à surmonter cette épreuve ! Bon courage, tu vas t’en sortir.

  119. Moi aussi cela m’est arrivé comme plein de personnes à qui je donne mon courage pour se reconstruire. j’ai aujourd’hui 13 ans mon cousin a abusé de moi de mes 6 à 11 ans jusqu’au jour ou j’en ai parlé j’ai portée plainte l’erreur de ma vie j’ai suivie une procédure très longue et toujours pas finie j’ai d’abord été interrogé ensuite mon cousin prévenu 1 mois avant et le gendarme s’occupant de mon affaires lui a dit qu’il ne me croyait pas et que je mentais donc mon cousin a été interrogé verdict je ne suis pas cru et je vais bientôt être réinterrogée pour mensonge (excusez moi je ne connais pas le nom exacte) c’est horrible je ne comprends pas comment cela a pu arrivé ainsi je suis désespérée. Bonne chance à vous tous. Cordialement

  120. Merci pour tous ceux qui témoignent leur souffrance, bravo à vous. Moi aussi j’ai vécu la même chose moi j’étais abusé j’avais entre 4 et 5 et au bout de 45ans j’ai voulu déposé plainte. Y avait prescription mais cela ne m’a pas suffit j’étais avec un homme pendant 14ans et j’étais violé pendant 10ans et je suis restée dans le silence il était un pervers narcissique et quand j’ai voulu déposer ma plainte y fallait que je sorte de chez lui alors je me suis retrouvée au foyer. C’est au bout de 12 jours que j’ai pu déposé ma plainte sauf que il y avait plus aucune trace de viol alors ma plainte a été classée sans suite. L’homme qui m’a violée vit heureux : à peine 3 mois de séparation il avait refait sa vie. J’ai beaucoup de colère j’ai de la haine envers lui.

  121. Bonjour ,voilà j’ai vécu 14 ans d’abus par mon père. Aujourd’hui j’ai 28 ans mes relations sont compliquées j’ai toujours pas confiance en moi. Pourtant j’ai réussi à me battre j’ai un appartement, j’ai une voiture et un travail quand je suis motivé. Car évidemment j’ai obtenu tout sa seul et le plus dur dans tout ça c’est que j’ai mon frère à ma charge depuis 9 ans ce qui a posé problème avec mes ex. Vivre à trois c’est pas facile pourtant mon frère c’est mon tout ! Il sait ce que j’ai vécu il a grillé des chose sur moi et mon père du coup on est unis et pour rien au monde je le laisserai quitte à mettre encore ma vie de côté
    Car si ça durait 14 ans de silence avec mon père j’ai réussi malgré tout à en parler j’ai été suivi 7 ans par un spy par un E.D.M.R qui m’a fait grand bien.
    Mais le souci aujourd’hui c’est mon père : depuis que j’ai grandi, j’ai compris que c’était mal ce qu’il m’a fait et très grave. J’ai compris ces choses car je suis une femme maintenant mais je suis fragile parce que ça fait 13 ans que je suis plus avec lui 13 ans que je dors SAnS qu’on me réveille pour…….
    Mais hier, j’ai reçu un message de sa part. hors je l’avais bloqué. il avait créé un nouveau compte pour m’envoyer un cc et une dizaine de photo de lui. Je prend sur moi je suis au travail. Je fais encore semblant et en terminant ma journée c’est revenu automatiquement : je pleure dans ma voiture en rentrant j’explose de pleurs prise de plusieurs sentiments. Que faire ? Même si je vois un spy encore ça reviendra plus tard, je voudrais aller l’affronter mais le souci c’est que je sens encore cette faiblesse en moi face à lui je voudrais être sereine et pas lui montrer que je galère. malgré que je reste une bonne vivante…

    Désolée pour les fautes et n’hésitez pas à me donner des conseils j’en ai besoin je recherche surtout une personne qui a réussi à ne plus être déstabilisée face à lui…

  122. J’ai 13 ans et je ne réalise toujours pas vraiment. J’ai peur de revoir mon cousin (l’agresseur). Je me sens seule. Je ne me sens pas en sécurité… Chaque soir, je m’effondre et je revis cette scènes encore et encore. Un garçon est là pour moi, il essaie de me rassurer mais… Malgré tout, ça devient très pesant.

  123. J’ai été violée à 8 ans par un monstre en la personne de mon frère qui soi-disant a violé une autre de mes soeurs. Cette soeur me l’a pas vraiment dit car moi je lui en ai parlé, elle a dit juste qu’elle savait pour moi et elle déclare a présent que c’est son imagination qui lui joue des tours et ce monstre a aussi violé ma soeur qui avait 7 ans, mais toutes les deux, le monstre leur a dit que c’était pas vrai et elles continuent de le fréquenter. Moi je le HAIS, je souhaite sa mort tout les jours, mais rien n’y fait, je pense que dieu veut qu’il vive, dieu se chargera de lui. Ma mère, je lui avais dit, mais elle m’a juste demandé “C’est qui ? Ton père ?”, je lui ai répondu “Non, ton fils chéri”, car elle le chérissait, c’était son premier fils (pour moi, c’est le monstre le problème). Avec maman, ça n’est pas résolu, car elle est décédée le 23 mars 2005 et là, je suis à moitié morte physiquement, j’ai un mari et un fils. Ils essayent de m’aider, mais je leur crie dessus et après je me calme, et c’est un cercle vicieux car je ressasse tout ça. J’aimerais perdre la mémoire pour plus vivre ce calvaire. Ce monstre vit heureux. Je suis sure que ce monstre dort bien. Moi, je dors plus depuis mes 8 ans, mais je peux pas porter plainte car y a prescription. Pour finir, j’ai été suivie par une psy qui m’a dit au final d’aller le voir et lui demander pourquoi il m’avait fait ça. Et après, il doit se faire pardonner. Moi j’étais abasourdie d’apprendre qu’une psy me demandait de lui demander pardon. Elle n’est pas tarée cette psy, vous croyez qu’une personne violée va dire merci à un monstre qui lui a bousillé la vie ? Voilà mon histoire. Comment je vis, non je survis.

  124. J’ai lu cet article. J’ai gardé pendants 4 ans le silence et avoué il y a seulement deux jours à ma mère et ma soeur. C’était mon ancien petit copain. Je n’ai plus eu de relation sérieuse après ça. Il était avec un ami à lui. Je ne pouvais pas en parler, c’était bien trop dur. Ce qui ne m’a pas laissé le choix, c’est que ma soeur s’est mise en couple avec l’ami de mon ex. Ca fait 3 mois qu’elle et avec lui. Et comme ce soir-là je n’étais pas dans mon état normal, je n’étais pas sure que c’était lui… Jusqu’au moment où il m’a avoué être le garçon qui était avec mon ex ce soir là… J’ai essayé de faire en sorte que ma soeur le quitte sans lui dire pourquoi. Je voulais qu’elle le laisse car pour moi c’était trop dur d’en parler. Je refusais de voir la réalité en face, que ça m’était vraiment arrivé. Aujourd’hui, ma mère me croit, mon autre soeur aussi, mais celle qui sort avec le garçonn elle ne me croit pas et continue de sortir avec ce garçon.

  125. Ma fille a fait une amnésie après des viols répétés sous la menace si tu ne fais pas pas tu n’auras pas de copines à l’école…
    Elle avait moins de 10 ans, et c’est ressorti à 19 ans…
    Ils existent des professionnels psychologues, psychiatres formés aux psychotraumatismes, méthodes EMDR, lisez les articles de Muriel Salmona psychiatre qui a fait une assoc Memoire traumatique et violences sexuelles, un livre aussi. Je suis au courant depuis peu, je n’avais rien vu aucun changement de comportement, sauf une tres grande fatigue mais aucun medecin ne savait pourquoi… Je suis proche d’elle, je fais mon maxi, mais à n’importe quel moment des flashes des angoisses sont là et je me sens tellement impuissante, je suis si triste de ce qui lui est arrivé, elle dort peu, mange peu depuis que sa mémoire a refait surface… C’est très dur en tant que parents alors j’imagine même pas ce qu’elle ce que vous vivez.
    Après quelques mois d’hopital / clinique psy le fait de rencontrer enfin une psy spécialisée en victimologie a été positif, maintenant il faut attendre et la soutenir pendant cette thérapie.
    Qui l’a essayé l’EMDR avez vous de bons résultats même si on est d’accord vous ne serez plus les mêmes.
    Courage à tous, et courage à l’entourage aussi plein de bonne volonté, pas toujours adroit, mais l’important est que l’on vous aime, et que l’on fasse de notre mieux.

  126. Bonjour,
    Voilà, cela fait 17 ans qu’il m’a violée. J’en ai peux parlé. J’ai subit des attouchements plus jeune, pareil, je n’ai presque rien dit à très peu de personnes. Aujourd’hui cela me revient en pleine face. Grâce à un thérapeute qui ne me connait pas, il m’a tout expliqué. Pas le détails de ce qui s’est passé, mais il m’a fait faire le lien entre ce que je vis et le pourquoi. Il m’a juste dit 3 mots et les vannes se sont ouvertes. Je le remercie et je vous remercie car en vous lisant je peux enfin laisser remonter les émotions liées à tout ce vécu. Je peux enfin laisser libre court à mes émotions. Je commence enfin la phase de reconstruction, d’acceptation de ce vécu qui m’appartient mais que j’ai tenu éloigné de moi jusqu’à aujourd’hui. Malgré tous mes symptômes tant physiques que psychiques, je n’arrivais pas à remonter à la source pour enfin me guérir. Comme aurait dit ma grand-mère, je tournais autour du pot… Je commence à faire mon chemin pour sortir de la culpabilité, sortir du syndrome de Stockholm, celui qui te rend amoureuse de ton tortionnaire. J’ai encore des moments de colère mais cette phase a déjà été vécue, grâce à mon compagnon et à sa patience je suis beaucoup plus dans la paix… Maintenant, je sais que je tiens le bon bout. Je croyais que d’y penser, d’en parler, me maintiendrais dans ce vécu, donc, je l’ai occulté, enfouie, et là, je sais que c’est le contraire! Il me faut détailler en allant au plus près, au plus petit, de toutes mes sensations pour m’en libérer. Merci à vous de m’avoir montrer le chemin, il est plus doux maintenant.

  127. Bonjour Eunice,

    N’écoute pas ton cousin, un viol n’est jamais de la faute de la personne agressée ! Tu ne dois pas te culpabiliser.
    Il faut que tu en parles à des gens plus distants de toi : http://stop-violences-femmes.gouv.fr/A-qui-m-adresser.html tu trouveras une oreille attentive ici.
    Ils sauront te dire qui voir, comment porter plainte, comment aller mieux.

  128. C’est tellement fortifiant cet article je suis victime d’un viol je suis tellement rongé j’ai juste envie de mourir, j’en ai parler a mon cousin il m’as dit que tout est de ma faute. Ca me donne envie de mourir. Je pleure même en cours de route. Je sais pas quoi faire.

  129. Franchement t’es très courageuse, forte et admirable, j’ai une amie qui est dans ce même cas et vraiment ça me touche tellement, le pire c’est que je me sens tellement impuissante face a cela, j’aimerais tellement l’aider, grâce a cet article je saurai comment me comporter avec elle. MERCI INFINIMENT QUE DIEU TE BENISSE

  130. C’est bien d’avoir prévenu la police.
    Maintenant il faut que tu essaie d’aller mieux. Tu peux appeler SOS Viols, ils sauront vers qui te diriger.
    Tiens le coup !

  131. Elliot, cest pas un criminel mais 2… ils mont battus et violer. Jen ai parler a mon copain. Je me cnfesse a lui. La police snt deja au courant. Jai vraiment envi de tout oublier
    C’est dur pr mn copain mais il me le montre pas. Il ma pas laiC tomB. Aujourdhui jai cnfronter ma peur en sortant toute seule mais la peur eT toujours la. Je sais pas comment faire.

  132. Steph,

    Il faudrait en parler à quelqu’un qui puisse t’aider : d’abord à la police pour poursuivre ce criminel.
    Ensuite à quelqu’un qui puisse t’aider psychologiquement pour te remettre sur pied: un.e psy, un.e infirmier.e.
    C’est important pour aller de l’avant.
    Courage à toi et ne garde pas ça pour toi !

  133. Salut sa va faire une semaines que j’ai ete violee et battue. Mais je me dis que je dois être forte. Je le fait pour celui que j’aime. Il est la pour moi. Il ne ma pas laisser tomber. Mais j’ai peur. J’ai juste envie de tout oublier et de refaire ma vie comme avant. A date du jour il y a que mon copain et mon cousin qui est au courant. Mais je me reprends pour lui car je l’aime. Je voulais pas que quelqu’un d’autre me touche a part lui… mais sa a eté fait.
    En plus notre relation, c’est une relation a longue distance. Je voulais tellement qu’il puisse me prendre dans ses bras…

  134. Oui c’est dur, de vivre tout ça car je suis amoureux d’une femme qui a subi plusieurs viols dans sa vie. Et c plus fort que moi : c’est encore une force de plus de l’aider à surmonter et de la rendre heureuse…

  135. Ma petite amie a été violé par son oncle et grâce a cet article je vais pouvoir l’aider

  136. Après un viol on survit plus qu’on ne revit car on ne pourra jamais plus être comme avant.

  137. Merci pour votre article ça va me permettre d’aider une amie.

  138. Bonjour à tous je suis un homme, mais ma femme s’est fait violer à plusieurs reprises par son coussin. Elle a porté plainte. Résultat : juste une amande de 500€.
    Mais ma femme est comme vous, vous n’arrivez pas à tous dire, ça a commencé à ses 7 ans et elle en a 30 .
    Elle est mariée 3 enfants mais certaines choses telles qu’une fellation, c’est mort direct. Mais je suis un homme galant et respectueux et je ne lui demande jamais.
    Le ique c’est que depuis plusieurs mois elle se renferme et pense de mauvaises choses.Je la rassure en lui disant tes enfants t’aiment,tes amies filles t’aiment, mais bon, elle me dit : Oui c’est ça.
    Que faire ? Elle veut voir personne et dit comme vous de toute façon ça sert à rien.

  139. En Lisant tous ces témoignages , je me dis qu’il existent des personnes qui me comprennent.
    J’ai été également violée à l’âge de 10 ans par mon frère.
    Cela a duré plusieurs années, il a cessé car j’en avait parlé puis il a recommencé lorsque j’avais 14 ans.
    J’ai 25 ans aujourd’hui et je n’arrive pas à me construire, je suis très instable émotionnellement ; je pleure sans cesse.
    J’ai des petites soeurs et je m’inquiète pour elles depuis des années.
    Je souhaite quitter le foyer familiale mais j’y arrive pas, je n’arrive pas à penser à moi. Je suis effrayée par le fait qu’il puisse détruire également une de mes soeurs. Mon sommeil est plus que léger, je fais des cauchemars et je me réveille à chaque bruit.
    Mes parents se voilent la face, ils me soutiennent sans le faire ils me disent qu’ils sont partagés entre lui et Moi. Ils me demandent de les comprendre et j’essaie.
    Je travaille sans cesse sur moi-même pour avancer mais j’ai vraiment l’impression de faire du sur-place.
    Je n’arrive pas à avoir une relation stable , j’essaie de faire comme tout le monde mais c’est voué à l’échec. J’ai le sentiment d’être prise pour un objet sexuel pour les hommes.
    Cet été je suis partie j’ai essayé de me reconstruire.
    Je suis partie en Corse (c’est magnifique, je recommande), je suis tombé sous le charme d’une personne là-bas, j’ai donc fait en sorte de trouver un travail bien payé à proximité de lui , je voulais m’installer là-bas. J’ai fait le nécessaire pour trouver un logement.
    Tout me semblait aller à merveille , jusqu’à ce que la personne avec qui j’étais à commencer à montrer son vrai visage, il m’a laissé sans nouvelles du jour au lendemain. Je me suis sentie abandonné, salie.
    J’ai quitté mon emploi car franchement j’avais envie de mourir.
    J’ai vraiment le sentiment d’être un objet.
    Je suis donc revenue au point de départ, Le Corse en question a appelé mes parents à mon retour pour avoir de mes nouvelles car j’avais coupé mon téléphone durant une semaine. J’ai cru que nous pouvions nous remettre ensemble mais non il avait juste besoin de s’amuser et d’apaiser sa conscience. Il m’a traité comme une merde.
    Et à l’heure d’aujourd’hui je me sens comme tel, je ne peux plus me regarder dans une glace. Je suis une très jolie fille j’attire sans le vouloir le regard des hommes et la jalousie des femmes.
    Pourtant si les gens savaient à quel point je hais mon corps , ma personne. Ce fardeau je le laisserait volontiers aux autres.
    Enfin bref à l’heure d’aujourd’hui je n’arrive à rien je pleure sans cesse, j’ai envie de vomir tout le temps.
    Je ne supporte plus le fait d’être chez mes parents et d’être confronté chaque jour au regard de mon débile de “frère”. La semaine dernière ma petite soeur de 15 ans m’a demandé si nous pouvions partir toute les deux , si elle pouvait venir vivre avec moi car elle ne supporte plus non plus la présence de ce frère toxique.
    C’est une personne extrêmement violente, il lui a déjà couru après pour la frapper…
    Cette petite soeur de quinze ans n’est pas au courant du fait que j’ai été violé ,il n’y a que mes parents et ma soeur de 21ans qui sont au courant. Nous gardons le silence à la demande de mes parents pour la “préserver”. Cependant lorsqu’elle me demande elle aussi de quitté le foyer familiale, je me pose énormément de question.
    D’autant plus qu’elle m’a avoué que lorsque j’étais en Corse il avait essayé de la frapper. Et il y a deux semaine, il était défoncé et il a demandé de rentré tout seule avec elle. Autant vous dire que ma mère a refusé. Je me pose milles questions. A-t-elle subit des attouchements? Mes parents vont-ils se réveiller? Cela réveille d’autant plus mes angoisses.
    J’ai donc décidé de consulter un psychiatre de nouveau, je vais tenter une nouvelle fois de sortir de ce film d’horreur.
    J’ai dans l’idée de m’éloigner de ce huis-clos familiale, malgré l’Amour que je porte à mes parents et à mes soeurs. Je ne sais pas si j’aurais la possibilité de prendre la dernière de mes soeurs en charge.
    J’aimerais être comme un glaçon, ne plus rien ressentir, et garder la tête froide en permanence. On verra bien.
    Je ne sais pas si mon témoignage apportera quelque chose à quelqu’un mais Moi ça m’a fait du bien de vider mon sac.
    Pour toutes les victimes de viol, je vous apporte tout mon soutien et mon amour. Nous sommes en plein combat, et nous allons le gagner.

  140. Bonjour à tous
    Je suis un homme de 50 ans et j’ai eu le souvenir d’un viol subi quand j’avais 10 ans par mon grand frère.

    J’ai occulté ce traumatisme 40 ans et cela a fait surface suite à un divorce. Ma vie emotionnel est devenue très perturbée, voir un enfer. Le pire c’est que ce manipulateur pervers narcissique à une bonne situation et fait bonne mine face à la société et de son entourage.

    Par chance j’ai suivi une thérapie pour tout essayer afin de m’en sortir. Il est évident qu’il y a prescription et que je peux plus porté plainte. Donc victime sans pouvoir réclamer justice…

    Je suis passé par tous les stades. La honte. L’alcool. La haine. La drogue. La colère. La vengeance et le désir d’en finir avec cette histoire qui vous polue. On est caché dans le fond de son trou et on a honte d’en parler à ses proches. Cela nous martèle dans la tête ou des images sons ou odeurs nous traumatise à l’infini comme une histoire sans fin, qui ce répète encore et encore.

    On pardonne à soi même. Mais ça ne marchait toujours pas. Alors j’ai changé de stratégie. La roue tourne et j’ai laissé toutes mes rancoeurs au placard. Je n’agits maintenant que pour protéger le restant de ma famille que j’aime et de me débarrasser des personnes toxiques.

    J’EN PARLE À TOUS CEUX QUI ME SONT PROCHE ET QUE J’AIME.

    Je n’ai plus de honte maintenant et j’en parle librement et cela justifie mon comportement. Mes proches me témoigne de la compation et un grand respect et ils comprennent mieux mes réactions envers ce frère toxique.

    Aussi et d’en parler j’ai appris que je n’étais pas le seul dans l’histoire comme victimes.

    Là où j’insiste bien et pour ceux et celles qui me lisent que agir par vengeance, haine, colère ou tout autre état similaires, m’à mener à être encore beaucoup plus mal voir très très mal.

    Maintenant je raconte cet episode de ma vie à toute la famille et surtout à mes enfants car ils ont droit d’être au courant. j’avance à pas de géant car je le fais pour PROTÉGER MES PROCHES et NON D’ESPRIT DE VENGEANCE.
    De toute façon la justice ne peux plus rien faire pour moi donc je n’ai pas le choix de faire autrement.

    Frederic

  141. Un vibrant MXI à toutes les filles courageuses.ça nous aide aussi en tant que garçon

  142. MXI beaucoup .je comprendrais plus ma compagne now et je saurais comment l aider

  143. merci pour cet article, je comprends mieux pourquoi apres avoir été maltraitée dans l’enfance (abus, inceste, par mon père, silence de ma mère, drogue pour que je me taise) j’ai vécu 18 ans avec un pervers qui, garant de mon silence d’enfance est allé très loin dans sa cruauté, j’ai grossi de 30 kgs. Puis après m’etre enfuie de ma propre maison, car je menaçais de parler et il menaçais de me tuer ( 3 tentatives maquillées en accident) j’ai continué à me haïr, me suis abandonnée totalement, me suis fait violée par un inconnu et suis devenue addicte d’un réseau de rencontres ( meetic) car virtuellement je ne crains plus rien pour tester si le désir pourrait revenir; Et si je parle avec des messieurs, je leur dis que j’ai été violée et que je ne crains plus rien car le pire , je l’ai vécu. Je n’éprouve plus de désirs pour rien, je ne trouve aucun intérêt dans rien mais je fais semblant. Parfois, ma colère se transforme en haine et en idées de meurtres ou de suicide ( symboliquement) car je sais que je ne passerai pas à l’acte . Le dégout de moi est toujours présent, mes filles m’en veulent de ne pas leur renvoyer une image de mère (et de grand-mère) en pleine forme. Je lutte , je fais 2 pas en avant, un pas en arrière; je me dis que je vais seule, à petits pas; c’est difficile mais, je ne sais pas si je serai capable d’aimer à nouveau. Je n’éprouve pas de manque, ni de frustrations mais je pleure et j’ai des idées noires fréquemment,Je n’ai pas porté plainte, ni contre mes parents, ni contre mon ex, ni contre le violeur, car c’est une épreuve, et qui me croirait? Alors j’admire les femmes qui le peuvent. Vous écrire est un pas de géante pour moi.
    Merci pour votre aide et votre soutien.

  144. Très touchant
    Moi qui suit en plein procès j’arrive pas à comprendre comment un juge a pu m’interroger pendant 4h j’ai le sentiment que c’était moi la coupable.
    Comment trouver la force d’aller en parler quand on veut juste “oublier”
    Je sais que jamais je pourrais jamais oublier mais en parlait c’est tellement plus douloureux depuis un ans et demi cette plainte reste et m’empêche d’avancer
    Franchement les filles qui y arrive dite moi comment faire
    Moi le simple fait d’écrire ça et jsuis en pleure

  145. Ton article ma énormément touché. …..je trouve pas les mots pour m exprimer. …dsl….en même temps, tu la si bien fais pour moi. Ton témoignage me redonne de l espoir. Merci merci et encore merciiiii mille fois. On va sen sortir! !!!

  146. Bonjour à tous,
    Tout d’abord bravo et merci pour ce bel article pleins de bons conseils. J’ai moi-même été victime d’un viol il y’a 10 ans et je suis pourtant encore aujourd’hui en phase de reconstruction… J’ai porté plainte contre mon agresseur il y’a quelques mois et je raconte mon histoire ici http://viol-apnee.com/.
    Nous ne sommes pas seuls, il est important de comprendre les impacts d’un viol sur une vie mais surtout d’avoir conscience qu’il est tout-à-fait possible de s’en sortir !

    Bon courage à toutes les victimes

  147. Bonjour mes dames,

    Je dois avant tout dire qu’il faut beaucoup de courage et du cran pour faire ce témoignage.
    Et vos conseils et votre ressenti m’ont beaucoup éclairé parce que ma famille a dû garder un lourd secret qui m’a été révélé a l’age de 22 ans et maintenant je comprend pourquoi elle ne m’en a pas parlé avant. Mais une chose qui me glace le sang : à cause de ces monstres elle est devenue handicapé mentale. Je vous laisse ce genre de reaction pour avoir plus de conseils des personnes qui ont été violée pour tout simplement faire avancer ma mere pas dans guérison mais plutot le deuil de cette agression. Merci à vous de m’avoir lu si c’est le cas et courage et battez vous pour vivre meme si c’est dur. Bonne journee a vous

  148. Article intéressant mais juste svp modifiez le titre: on ne se fait pas violée!!!! on est violée ! ce n’est pas la même chose!
    merci et bravo pour ce beau témoignage qui je l’espère pourra aider.

  149. Ce n est pas évident même avec debl entourage il faut encore pouvoir en parler surtout quand on est tres jeune la peur nous envahi on garde ce secret au font de nous et après on ose encore loin en parler c est dure de vivre s en jamais pouvoir parler car personne ne sait

  150. Bonjour

    Ça mais arrivé j’avais 11ans et aujourd’hui et j’en 29 je nen peut je sais plus quoi faire. J’ai essayé dans parler à mon médecin traitant il m’a demander de lui m’être par écrit mais je n’arrive pas comment faire?

  151. Merci pr vos temoignage. Quelle chance d’etre tomber sur ce site. Sui mere de famille et j’étais violee a l’age de 4ans par 1grand cousin puis ça c repeter avc d’autres membres de ma famille. J’ai 43ans et je suis en arret de travail. Suis tombée dans l’abime de la dpression dpuis 3ans. G d phobies d crises d’angoisses etc.. Meme si suis en thérapie et que je prends ds antidépresseurs et anxiolytiques ça ne change rien a mon mal-être. Je veux en finir avec ctt vie. Je suis encore en vie qu’a cause de ms filles. Je vis replier sur moi même. Je ne frequente plus ma famille. En ce moment je me sens perdue et je perds ma lucidité. Je ne c pas si je v m’en sortir 1jr et retrouver l’envie de vivre sereinement.

  152. merci pour ce témoignage. c’est bien que les femmes parlent plus maintenant… C’est dure de souffrir, mais nous devons guérir pour aider les autres. Ma fille a été violée par un ado de seulement 13 ans ! C’est très dure pour une maman de vivre cela… Mais nous allons nous battre pour que cela n’arrive plus JAMAIS…Je veux faire de cette triste expérience pour FORCE et m’engager dans des missions éducatives ! Courage à tous ceux qui souffrent de violences et de viols nous allons nous en sortir….

  153. 30 ans après, alors que je me suis battue seule, un proche me dit “il ne t’a pas violée”.
    Je suis perdue

  154. merci pour ton témoignage pour les victimes on se retrouve dans se que tu dit et sa fait du bien de voir qu’on est pas la seule a ressenti tout sa merci

  155. Bravo, Oui je me reconnais dans beaucoup de situations, ma douleur est très présente, je ne dors plus moi non plus, je fais des crises d angoisses, j ai honte de moi et de mon corps, je hais les hommes et je suis complètement parano. Je veux m en sortir, je consulte, ça fait du bien mais une fois sortie, je ressasse, je pleure énormément. Je n ai pas porté plainte tout de suite car je suis rester muette pendant plusieurs mois, ma famille m a accompagnée pour porter plainte, mais on m à reproché d être allée trop tard, plus de preuves, donc, plainte classée sans suite. Je connaissais pourtant mon “violeur”. J ai eu accès au dossier pénal, selon lui j etais consentante. Point barre, et pour comble, on m a incitée à ne pas poursuivre sinon il déposerait plainte pour dénonciation calomnieuse. De qui se moque t on ? Je ne parviens pas a me reconstruire sans qu il avoue ce qu il a fait, surtout qu il m a prise en photo alors que j etais nue. Ces photos sont bien quelque part, même effacées ! Je suis complètement détruite, je pleure sans arrêt c est très difficile à surmonter.

  156. J’ai été victime de viol aujourd’hui, j arrive pas à fermer l’œil. Ça tourne dans ma tête, je pleure sans m en rendre compte, je culpabilise. Je suis perdue

  157. Bonjour j’ai lu votre article. Je sais comment être après plusieurs agressions. Je viens avec sa tout les jours alors que j’ai que 26 ans mais certes j’ai vécu des choses horrible mais c’est ma force. J’ai fait quelques bêtises quelques années après ma première agression car je n’avais que 9 ans . On ne devrait même pas vivre ça et je ne le souhaite à personne mais sachez que si vous avez vécu ça. Vous n’êtes pas seul et aussi que sa peut vous permettre de vous battre et de faire de grandes choses dans ce monde de cruel et miséricorde. En tout cas c’est comme ça que je vois les choses .

  158. Il est tres bien cet article, avec des paroles encourageantes. J’ai été victime de viol de la part de mon père à 10 ans et je suis resté longtemps dans le silence. Ce que tu décris je le traverse actuellement. J’espère vraiment pouvoir m’en sortir de cette spirale infernale qui dure depuis 1 ans maintenant. Bon courage à toutes ces victimes

  159. Mercie moi qui es subit le viole pendant 7 ans et demi je dois avouer que c’ est difficile et même après présse que 1 an aprés avoir dènoncer c’est difficile j’ai l’impression de vivre dans autre mondemaintenant . Voilà je m’appelle Cindy et la premier fois que c’est arrivée j’avais 10 ans et il ma fallut plusieur t’entative de sucides un changement de comportement une perte de poids important et une super amie qui ma fais prend consience de se que je vivais n’etait nornale.
    A toutes les filles et garçon vie la maltraitesse surtout n’abandonnée pas et dénoncer.

  160. Je trouve que tout se que ta écrit est vrai, on est dégoûter de la vie , et en guerrier une fois que l in s est venger au début, on a qu une envie mourrir , mais apres quand on parle a personne en essaie de comprend pourquoi, mais quand on voie que c est que pour du plaisir, en a envie de se vange et fe réussir dans la vie , apres 2 ans de vécu au sombre , j ai décidé de me vange et d être plus forte, ça va être dure en sachant que que toujours je fais des cochemar mais je vais réussir mon combat tout seul sans l aide à personne ,
    Je souhaite et je veux que vous ne pleur plus car eux sont plus comptant de voie voir perdre donc réussisse , bâte vous même si la vie ne vous sourie pas

  161. Je trouve que cette article est vraiment important tu m’as redonné espoirs, même si je n’arrive pas encore a exprimé ce qui m’est arrivé je pense qu’un jour j’y arriverai. Merci

  162. Merci pour cet article, je crois que c’est vraiment important, cet élan vers la vie est d’une tendresse frappante.
    Un jour, un ami m’a confié que sa soeur lui avait avoué la veille que leur beau-père la violait régulièrement depuis plusieurs années. Il ne savait pas comment réagir. Je n’ai pas su quoi lui dire. Ce souvenir m’a longtemps hanté.
    Je crois que mainteant, je comprends mieux.

  163. Merci d’avoir réagi à mon témoignage

  164. Je trouve cet article touchant. De plus, c’est très important d’en parler, ça peut aider les autres personnes victimes de viol à se sentir moins seules.

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