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« La mécanique et moi : une histoire d’amour »
Louis est collégien et a déjà trouvé sa vocation. Depuis que son grand-père l’a encouragé à réparer son premier moteur, il rêve d’ouvrir son garage au Portugal.
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« Pour ma mère, je lis trop »
La lecture d’histoires fantastiques et de thrillers apaise Kawtar, 14 ans. Comme elle projette de devenir médecin, sa mère craint que cette activité ne la détourne du travail scolaire.
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La filière pro a sauvé ma scolarité
Au collège, Claire n’est pas passée loin du décrochage scolaire. C’est en maison familiale rurale (MFR), avec des profs à l’écoute, qu’elle a repris goût à l’école et aux interactions sociales.
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« Le choix de ma vie en quelques clics de souris »
Jérémy, élève de terminale, n’est pas le seul pour qui Parcoursup est synonyme de stress et d’insomnie. Le lycéen, qui veut faire médecine, aimerait pouvoir se projeter dans l’avenir avec joie.
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« Mais tu veux devenir Rachida Dati ou quoi ? »
À l’heure des choix sur Parcoursup, Caesa, 17 ans, en terminale, ne cache pas ses ambitions. Ses parents ont quitté l’Algérie pour offrir une vie meilleure à leurs enfants. Ils sont à la fois très encourageants et un peu inquiets d’imaginer leur fille, femme maghrébine et voilée, à Sciences Po.
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« Lorsque je parle de mode, on ne me prend pas au sérieux »
La grand-mère de Lola lui a transmis sa passion pour la couture. Autodidacte, elle dessine et fabrique des vêtements. Aujourd’hui, la collégienne se rêve styliste, alors que ses parents l’imaginent architecte.
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Plus tard, je serai un pro aux fourneaux
Yacine ne se sentait bien ni à l’école, ni en institut médico-éducatif, un établissement pour les jeunes en situation de handicap mental. C’est finalement dans la cuisine familiale avec son père qu’il a trouvé sa vocation, et grâce à des structures d’insertion pro qu’il a pu la concrétiser.
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Je choisis mon métier sans l’essayer
À Rabelais comme ailleurs, le chemin est long et stressant jusqu’au bac, épreuve ultime avant d’affronter l’ogre de Parcoursup pour tenter
de s’assurer un avenir. Safi a le sentiment de devoir prendre des décisions pour son futur à l’aveugle, comme si elle achetait un habit sans l’essayer. -
Non, serveuse n’est pas un « sous-métier »
Face aux réticences de ses parents, Kellya a tenu bon. Plus tard, elle sera serveuse, et fière de l’être.
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J’ai trouvé ma voie au CIO
Il faut parfois savoir s’entourer pour trouver sa voie. C’est ce qu’a fait Annaële en allant demander conseil au centre d’information et d’orientation (CIO).
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En pro, je suis devenu l’acteur principal de ma vie
Paralysé par sa timidité quand il était au collège, Esteban s’est dévoilé en entrant en bac pro mode, entouré de personnes qui lui ressemblent.
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En bac pro, j’ai trouvé ma voie
Depuis que Maya est en bac pro, tout va mieux. Elle se sent à l’aise et a de meilleurs résultats. Surtout, elle a trouvé une passion : la mode.