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Quartier des 3000 : je veux réussir comme Aya et Moussa
Aulnay-sous-Bois a mauvaise réputation. Pourtant, on y trouve des talents comme Aya Nakamura et Moussa Sissoko. J'espère, un jour, inspirer comme eux les petits de mon quartier.
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Être mère ou avoir une carrière, je ne veux pas choisir
Un jour, je serai mère. Mais à quel prix ? Les hommes ne se rendent pas compte de la charge mentale qui pèse sur les femmes... Pourtant, moi aussi, je veux pouvoir profiter de la vie à son maximum !
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Je me battrai comme ma mère
Pour que j’arrête mes bêtises, ma mère m’a raconté son passé. Arrivée de Guinée-Bissau, elle s'est battue pour réaliser ses rêves. Quelle leçon !
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Après les factures, j’ai 90 euros pour finir le mois
Avoir un CDI, acheter une maison, aller à Los Angeles, j'en rêve. Mais avec 90 euros pour finir le mois et aucune promesse d'embauche, difficile d'y croire.
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Un stage à l’Assemblée nationale, on me disait « c’est mort »
Décrocher un stage à l’Assemblée nationale quand on vient d'un quartier, impossible ? J'ai voulu prouver le contraire à mes amies.
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J’ai dû choisir entre ma mère et ma famille d’accueil
Placé à 10 ans en famille d'accueil, j'ai toujours gardé un lien très fort avec ma mère. Un jour, j'ai dû faire face à un douloureux dilemme.
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En France, j’ai découvert de nouveaux droits
École, santé, loisirs... j'ai enfin un avenir. En Guinée-Conakry, pour y avoir accès, il faut beaucoup d'argent. Merci à la France, pays des droits.
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Mon année sabbatique m’a servi de tremplin
Mon année sabbatique m’a permis de réfléchir à ce que je voulais faire de ma vie avant de me lancer. Malgré les critiques, ça m'a laissé le temps de trouver mon orientation : le journalisme.
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C’est MON choix d’orientation ! Pas celui de mes parents, mes profs et ma conseillère…
Depuis la seconde, je veux travailler dans l'événementiel. Mais pour mon entourage, ce choix d'orientation manquait de prestige et de débouchés.
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« Qu’est-ce que tu veux faire plus tard ? » C’est compliqué…
Je suis en terminale, et l'année prochaine, je ne sais pas quoi faire. Mes proches s'inquiètent pour mon orientation, mais moi, je ne me sens pas prête pour décider.
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Je rêve de quitter ce quartier qui m’enchaîne
Je suis bloqué là où j'ai grandi, dans les quartiers Nord de Marseille. Je rêve de partir, mais sans diplôme, je m'accroche à la musique comme porte de sortie.
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Mon avenir m’attend en France, pas en Algérie
En Algérie, je n'avais pas assez de perspectives d'avenir alors ma famille m'a envoyé au lycée en France. J'aimerais rester et y entreprendre des études supérieures.