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Le rap me rend plus conscient
Grâce au rap, j'ai acquis des connaissances que je n’aurais peut-être pas eu ailleurs. Il m’aide à me déconstruire et m’a permis d’en découvrir plus sur les luttes contre le racisme et les violences policières.
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Du Congo à la pop internationale, le lingala fait rayonner la culture
Ma langue, le lingala, je l'entends de plus en plus, dans la musique et sur les réseaux. Gims, Dadju, Damso ont une influence sur la France et sur ma vie.
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Avec mes potes, niveau culture c’est le grand écart
La culture a toujours été centrale dans mon éducation, mais pas pour mes amis d'enfance à la campagne. Avec eux, je m'adapte, mais j'ai peur que mon déménagement à Paris ne creuse le fossé qui déjà nous sépare...
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Sample, le podcast : « Grandir c’est (se) déconstruire »
« Se déconstruire », c'est quoi ? Shani-Lei et Pauline ont suivi ce chemin vers l'antiracisme et le féminisme sur les réseaux, avec ou contre leurs proches.
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J’aimerais avoir autre chose qu’un banc pour passer le temps
Dans mon quartier, il n'y a pas assez d'activités pour les ados. On est obligés de changer de ville pour s'amuser. On se sent délaissés...
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Les séries c’est la vie, en plus court et plus intéressant
Entre apprendre des langues, améliorer ma culture générale et vaincre ma timidité, regarder des séries, ça m'est très utile !
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Suis-je trop blanche pour être arabe ?
Soit « trop blanche » soit « trop arabe », je ne sais plus où me situer. Parce que pour les autres, mon métissage pose problème.
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Avec mes parents, c’est le choc des générations
Mes parents, ils ont la cinquantaine. Ça crée un gros écart générationnel et on ne se comprend pas toujours.
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Transclasse : mon langage est à mon image
Entre la cité, les potes de Paris et les collègues, je manie la langue de Molière dans tous les sens ! Dans tous ces univers, j'essaie de rester fidèle à moi-même.
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France-Algérie, j’ai le cul entre deux pays
Algérien arrivé très jeune en France, je me suis senti rejeté, des deux côtés de la Méditerranée. Mais je crois que ma vie, elle est meilleure ici.
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En France, je vis dans la nostalgie de mon pays
Depuis que je suis en France, je ne pense qu'à mon pays : la Géorgie. Alors ici, je fais tout pour garder un lien avec ma culture. Parce qu'elle fait partie de mon identité.
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Moi, jeune de cité, faire du théâtre… et pourquoi pas ?
Venant de Montreuil avec un parcours scolaire compliqué, je savais pas quoi faire de mon avenir. Je pensais que le théâtre, c'était pas fait pour moi, mais mon service civique m'a prouvé le contraire !