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Étudiante en première année : isolée j’ai craqué
J'avais hâte de commencer mes études supérieures début septembre. Nouvelle ville, nouvelle vie ! Mais la Covid a tout gâché.
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2020, tapis rouge pour ma dépression
La Covid-19 a rendu le quotidien anxiogène, et les seuls plaisirs qui permettent de tenir sont interdits. Mais j'essaie de tenir malgré tout !
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Confinée avec ma mère, sa dépression et mes séries
À ma mère, le confinement, ça ne lui a pas réussi. Alors comme je dois gérer sa dépression pour deux, j'essaie de m'évader comme je peux.
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Exclu du collège, j’en ai fait une dépression
Après avoir été exclu de mon collège, je suis passé par toutes les phases de la dépression. Sans ma famille qui m’a fait hospitaliser, je ne serais plus là pour témoigner.
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Mon bouclier contre la dépression : les free party
Isolée, renfermée sur moi-même, triste... Je m'en suis sortie grâce à la découverte des free party et des potes excentriques que je m'y suis fait.
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Harcelée, j’ai fini par m’en sortir et c’est maintenant ma force !
Tombée en dépression et hospitalisée après avoir été harcelée, je m'en suis sortie par ma passion du foot et des gens avec qui la partager.
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J’ai longtemps masqué ma dépression
À la mort de mon grand-père, je suis tombée en dépression. Plutôt que d'en parler à mes proches, j'ai longtemps préféré cacher mon mal-être. Avant d'être prise en charge par une psychothérapeute.
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Ma scolarité a été foutue en l’air à cause de troubles dys
J'ai toujours fait des efforts pour suivre en cours. Beaucoup d'efforts, pour compenser mes troubles dys. Mais ça n'a pas suffi, et je me suis retrouvé dans une filière que je n'avais pas choisi...
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Mon job m’a fait tomber en dépression
Pour me laisser le temps de réfléchir à mon orientation, j'ai choisi de travailler une année. Mon manque d’envie et de passion m’a déprimé, au point de lâcher.
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En rave party, seul le présent compte
J'ai découvert les rave parties au lycée. Depuis, je m’y rends régulièrement le week-end, une à trois fois par mois. La drogue, la musique, les gens… J'aime ces nuits clandestines, ce milieu underground si loin de l’éducation classique que j'ai reçue.
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Depuis le collège, je me réfugie dans la beuh
Pour échapper au harcèlement au collège et à l’ennui à la maison, je me suis renfermée sur moi-même. Mon échappatoire ? La drogue. Mon arrivée au lycée a changé la donne.
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Être harcelée, ça a plombé ma scolarité
"T'es trop moche", "jamais un mec ne s’intéressera à toi", "tu pues", "t'es une merde…" Ces mots, j'étais collégienne quand je les ai entendus. De quoi perdre toute confiance en moi.