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Mon intégration n’est pas une assimilation
Pas si facile de trouver un équilibre entre mes cultures d'accueil et d'origine. Un équilibre à l'image de mes prénoms, sans assimilation.
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Dans ma tête, c’est Google translate
Entre mes origines, mon pays de naissance et ma vie en France, je parle trois langues. Du coup, c'est moi la traductrice de la famille !
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Ma punition : 11 mois au bled
Mes parents m'ont envoyé au Sénégal pour me donner une leçon. Plusieurs mois difficiles qui m'ont ouvert les yeux sur le bled et sur moi.
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Pas besoin de parler français, tu parleras avec tes gants
En arrivant de Turquie à 11 ans, j'ai subi des moqueries. Ma colère, j’ai réussi à la canaliser grâce à la boxe. Ça m'a permis de grandir et de trouver ma place en France.
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Covid-19 : les mineurs isolés étrangers voient leur avenir entravé
Recherches d'emplois suspendus, formations en stand-by... A l'épreuve de la crise sanitaire, l'intégration des mineurs isolés étrangers que j'accompagne est menacée. Et leurs 18 ans approchent sans qu'ils puissent s'y préparer.
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Grâce à mes papiers, j’ai enfin pu me projeter
Enfant, j'ai fui le Kosovo avec mes parents pour aller en France. J'ai mis huit ans pour obtenir des papiers, mais aujourd'hui ma vie prend tout son sens.
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Apprendre le français, je l’ai fait !
Quand je suis arrivé en France, j'ai dû apprendre le français, et vite. Malgré l'aide des associations et formations que j'ai reçues, le chemin est encore long.
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En France, j’ai découvert de nouveaux droits
École, santé, loisirs... j'ai enfin un avenir. En Guinée-Conakry, pour y avoir accès, il faut beaucoup d'argent. Merci à la France, pays des droits.
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Dix-huit fois, j’ai essayé de traverser la Méditerranée
Du Mali jusqu'en France, j'ai ramé. Beaucoup. Rejoindre l'Europe, par la Méditerranée ou par la terre est un calvaire. Mais j'avais la rage !
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Plus qu’un toit, ils m’ont donné une chance
Jeune mineur isolé étranger, je me suis retrouvé sans toit, sans argent et sans perspectives en arrivant à Marseille. Quand des bénévoles d'une association m'ont hébergé, tout a changé...
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Je suis éducatrice d’une jeunesse qui en est privée
Je travaille dans un CHU pour mineurs isolés. Tous les jours, je suis confronté au courage de ces jeunes, à leurs espoirs et à leurs peurs.
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J’ai parcouru 3 236 km et traversé quatre frontières jusqu’à Paris
Au Mali, je n'avais pas d'argent. Je voulais une meilleure vie. J'ai donc traversé à pied l'Algérie, le Maroc, puis l'Espagne avant d'arriver en France.