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Du Congo à la pop internationale, le lingala fait rayonner la culture
Ma langue, le lingala, je l'entends de plus en plus, dans la musique et sur les réseaux. Gims, Dadju, Damso ont une influence sur la France et sur ma vie.
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J’ai grandi entre le confort de ma famille d’accueil et la précarité de ma mère
Placé à 3 ans, j'ai très vite remarqué les différences de niveau de vie entre ma famille d'accueil et mes parents. De grandir dans deux milieux sociaux différents, ça m'a permis de ne pas juger les autres sur leur classe sociale.
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Inceste : ma famille m’a forcée à retirer ma plainte
Mon père m'a violée pendant six ans. Lorsque j'ai trouvé la force de me rendre à la police, ma mère m'a fait chanter pour que je retire ma plainte...
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Une année de césure en attendant la fin de la crise
Avec la Covid, j'ai préféré faire une pause dans mes études. Un temps pour souffler avant de me relancer, mais surtout pour m'engager.
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Dans une petite ville, si t’es gay, ça se sait
Dans ma ville, je connais déjà tout le monde. Alors pour vivre mon homosexualité librement, il ne me reste que les réseaux.
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Je suis passé des steacks surgelés aux fins de marché
Flexitarien, puis végétarien, et maintenant « détritivore ». Au fil de mes études, j'ai pris le chemin de l'engagement en changeant ma façon de consommer.
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#MentalBreakUp : les partiels de janvier, c’est la goutte de trop
Après ma PACES, je pensais pouvoir souffler. Entre la Covid, une fusion d'universités et des partiels à l'organisation désastreuse, je sature.
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Étudiante en première année : isolée j’ai craqué
J'avais hâte de commencer mes études supérieures début septembre. Nouvelle ville, nouvelle vie ! Mais la Covid a tout gâché.
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Dans mon KFC, nos conditions de travail bafouées
Management de la terreur, harcèlement moral, gestion catastrophique de la crise sanitaire... Dans le KFC où j'ai travaillé, la direction avait pour habitude de piétiner les employés. J'y suis quand même restée deux ans.
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Maman célibataire à 16 ans, adulte à plein temps
J'ai eu mon enfant à 16 ans. Quand il est allé à l'école, j'ai décidé d'y retourner aussi. Je me devais de remplir mon rôle de maman jusqu'au bout, pour lui !
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Major de promo, je n’osais pas me réorienter
J'ai passé trois ans à me convaincre que mes études de psycho étaient faites pour moi car j'avais de très bonnes notes. Arrivée en master, impossible de rester dans le déni.
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Blessée par un tir de LBD, ma mère n’ose plus manifester
En manifestation, ma mère a été victime de violences policières. Elle a des séquelles physiques et psychologiques et nous ne savons pas où en est l'IGPN.