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Ma semaine de 4 jours : travailler moins pour vivre mieux
Après mon burn-out, je me suis interrogée sur l'impact de mon boulot sur ma vie perso. Depuis, je travaille moins, je gagne moins mais je me sens mieux.
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Être heureux au travail, c’est pas du luxe
J'ai enchaîné des boulots dans lesquels je ne m'épanouissais pas. Ma mission en service civique m'a enfin permis de me dire : « Oui, on peut être heureux au travail. »
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Le jour où j’ai fui la violence de mes parents
Même si la décision fut difficile, je ne pouvais plus subir leur maltraitance. Grâce à une association, j'ai pu dire « ça suffit ».
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Plus qu’un toit, ils m’ont donné une chance
Jeune mineur isolé étranger, je me suis retrouvé sans toit, sans argent et sans perspectives en arrivant à Marseille. Quand des bénévoles d'une association m'ont hébergé, tout a changé...
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Avant 30 ans, je n’avais jamais mis les pieds dans une banlieue
Enfance à la campagne, études en prépa et école de commerce... La banlieue, je n'avais aucune raison d'y aller. Jusqu'à récemment, pour y bosser !
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Même confinés, les mineurs étrangers restent isolés
Pendant le confinement, la plupart des mineurs isolés ont été mis à l'abri. Néanmoins, l'hébergement reste précaire, beaucoup de jeunes ont faim, et l'après-confinement inquiète...
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1376 témoignages plus tard… La ZEP fête ses cinq ans !
Cinq ans de récits, cinq ans de jeunesses. Toutes ces paroles méritaient bien une rétrospective. La rédaction vous a sélectionné de la punchline !
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Mineur isolé : huit mois à la rue, toujours sans foyer
Arrivé en France il y a un an, je suis toujours dans l'attente d'un foyer et d'être reconnu mineur isolé. Bientôt 18 ans, je suis fatigué de vivre dehors.
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À la rue, j’ai pas le temps de souffler
Ça fait quatre mois que je vis à Paris, dans la rue. Je dois trouver où dormir, manger, me doucher, faire mes démarches. Des journées millimétrées.
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Aux jeunes sapeurs-pompiers j’ai repoussé mes limites
De mes 12 à 18 ans, je me suis préparée à devenir sapeur-pompier. Un entraînement intense, du sexisme, mais surtout des valeurs que je ne suis pas près d'oublier !
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Une association a profité de moi mais j’osais pas la quitter
J'avais trouvé un travail qui avait du sens mais l'association a vraiment abusé : charge de travail, responsabilités, culpabilisation et mauvais salaire. Paye ton taff associatif.
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Jongler entre la fac et le bénévolat, ça a été sport !
Déçue par l'université, j'ai démultiplié les actions bénévoles à côté. Ces expériences m'ont bien plus appris que les cours de psycho.