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Je ne suis ni une « beurette » ni une « pétasse »
J'aime la mode et le maquillage mais refuse d’être cantonnée à cette image superficielle. Parce que je ne veux plus être sexualisée, je me suis engagée dans le mouvement du #Lundi14Septembre.
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Réunions en non-mixité : pour nous, elles sont nécessaires
Pour Lorie, Stanley et Djery, la non-mixité choisie libère la parole entre personnes concernées et minorisées, sans présence oppressive.
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#MeToo : de la conscience à l’action
#MeToo et #BalanceTonPorc m'ont fait prendre conscience des violences que j'ai subies et rendu militante. J'ai organisé et participé à plusieurs actions contre les violences sexuelles et le sexisme, pour aider les autres et m'aider moi-même.
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Je suis la féministe de ma famille
Dans ma famille, parler patriarcat, inégalités de genre, et stéréotypes, ça passe moyen. Mais à force d'insister, mon étiquette de « féministe » finit par payer.
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Être mère ou avoir une carrière, je ne veux pas choisir
Un jour, je serai mère. Mais à quel prix ? Les hommes ne se rendent pas compte de la charge mentale qui pèse sur les femmes... Pourtant, moi aussi, je veux pouvoir profiter de la vie à son maximum !
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Sourire, se tenir droite et être sexualisée, c’est ça mon job ?
J'ai été hôtesse d'accueil pour des événements sportifs. Le jour où j'ai accueilli ce groupe de vingt supporters, tous des hommes, m'a dégoûtée du métier.
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Ma sœur a été mariée de force, ça l’a tuée
Ma mère dit qu'une femme sans mari est une femme idiote. Alors elle a forcé ma soeur Nassra à se marier. À renoncer à ses études et sa liberté. Ça l'a brisée.
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Face au harcèlement de rue, je suis une super héroïne du bitume
Les harceleurs de rue, ils font partie de mon quotidien. Alors je les esquive, je les affronte... avec mes techniques de survie dignes de Call of Duty. Un vrai sport de combat ! Je vous apprend ?
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La ville confinée, mon insécurité décuplée
La France est confinée mais, une nuit, j'ai dû sortir. Entre les rues désertes et les commerces fermées, mes stratégies d'évitement ont foutu le camp.
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Non, « jeune et jolie » ne fait pas partie de mes compétences
J'avais déjà été confrontée au sexisme en entreprise. Mais le pot de départ d'un collègue a révélé le problème de fond : je vais devoir me battre pour que mes compétences ne soient pas mises au second plan.
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Au travail, je « perturbe » les hommes
Après avoir échoué au bac, j’ai postulé en tant que préparatrice de commandes. Le travail d’entrepôt, ça me plaisait, mais le sexisme ça ne passait pas...
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Raciste, sexiste et homophobe… c’est mon père
Mon père a des opinions que je ne supportais plus, surtout sur les femmes. M'éloigner de lui a été la meilleure solution pour m'affirmer et militer.